Le DG de la SAED, Aboubacry Sow été en tournée économique dans la région Nord pour visiter les chantiers et les périmètres irrigués de Matam et de Kanel.
Accompagné
d’une forte délégation, le Directeur Général de la Société d’Aménagement et d’Exploitation des
Terres du Delta, des Vallées du Fleuve Sénégal et de la Falémé (SAED),
Aboubacry Sow, a effectué une grande tournée dans la haute vallée, plus
précisément, dans la région de Matam.
L’objectif majeur de cette
mission consistait à visiter les champs de riz de cette partie du Fouta et des
chantiers dans les départements de Matam et de Kanel. Au deuxième jour de cette
tournée, Aboubacry Sow a rendu une visite de courtoisie au Guide Spirituel de
Matam, Thierno Samassa Mourabi, au Gouverneur de la région, avant de s’entretenir
avec le personnel de la SAED, en poste dans la délégation de Matam et les
producteurs.
À Kobilo, dans le
département de Matam, où les producteurs disposent d’un périmètre de 740 ha, le
Dg de la SAED a pu constater de visu, les efforts constants et louables
déployés par les paysans pour démarrer dans de très bonnes conditions, la
campagne hivernale de production agricole. Ces derniers ont pu mettre en valeur
350 ha et ont déjà procédé aux semis.
Le responsable moral de la
SAED et sa suite ont été également, chaleureusement accueillis à Doumga Ouro
Thierno, par les responsables et membres des Organisations Paysannes (Op). Il a
vivement félicité ces producteurs dynamiques, qui n’ont pas perdu du temps pour
labourer la terre sur une superficie de 250 ha et récupérer les BLP (Bons de
livraison et de paiement) relatifs aux façons culturales et aux semences.
Cependant, des problèmes de
vol de câbles au niveau des stations de pompage et de facture d’électricité ont
été posés par ces producteurs qui n’ont pas jugé nécessaire de payer des
factures qui concernent des primes fixes facturées hors campagne.
Le Dg de la Saed s’est dit
très sensible à cette préoccupation et a émis l’idée de proposer au ministre de
l’agriculture et de l’équipement rural, le Pr Moussa Baldé, à son collègue de
l’économie, du plan et de la coopération, Amadou Hott, d’aider ces producteurs
à disposer d’équipements solaires qui leur permettront de résoudre, de manière
durable, ces problèmes d’électricité auxquels ils sont régulièrement confrontés
au niveau des stations de pompage.
À Nabadji,
dans le département de Matam, le Dg Aboubacry Sow, les membres de son staff et
sa délégation, ont passé en revue le chantier rizicole de cette localité, qui
s’étend sur une superficie de 400 ha. Ce chantier rizicole a été rendu possible
grâce à un financement important de l’Agence française de développement (Afd),
qui permettra, en même temps, à de nombreux villages environnants de Nabadji,
de bénéficier largement de ce projet. Un programme de développement agricole,
de grande envergure, qui permettra d’augmenter le foncier irrigué dans le
département de Matam, où le Dg de la SAED a constaté de visu que les travaux
sont à un niveau d’exécution de 40%.
La délégation de la
Direction Générale de la Saed, n’a pas manqué de visiter le chantier
d’aménagement et de mise en valeur de 20000 hectares qui entre dans le cadre de
la mise en œuvre d’un programme financé par les partenaires de la Saed et qui
va être a redimensionné à 10000 hectares. Dans le périmètre de Ganguel, elle a
pu constater aussi que les opérations de remblai ont démarré. Le périmètre
irrigué du village d’Amady Ounaré, a reçu également la visite du Dg de la Saed,
qui s’est rendu compte que les producteurs ont la possibilité de mener leurs
activités agricoles sur une superficie de 400 ha. Ce périmètre a été aménagé,
en 1982 avec un système de double pompage.
Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.
D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».
Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.
Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.
Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie. Mais pour le directeur général de cette structure, cela s’explique par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1, deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.
Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ». S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.
La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.
Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.
L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.
Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.
Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier.
L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité.
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