La désignation du chef de l’opposition risque de chambouler
la scène politique. En effet, selon le quotidien Source A, cette décision a
causé une fracture béante dans l’opposition.Si Khalifa Sall et Ousmane Sonko
préconisent que ce statut soit acté au lendemain de la présidentielle de 2024,
Issa Sall du Parti de l’unité et du rassemblement (Pur) revendique le poste en
se basant sur les trois députés obtenus, sous sa propre bannière, aux
législatives de 2017.
Ce que Rewmi et le Pds n’entendent pas de cette oreille.
Finalement, la patate chaude a été refilée à la Conférence des leaders qui
devra, dans les prochains jours, trancher cette question sensible qui risque de
faire des dégâts dans l’opposition.