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OMAR PÈNE DÉCIDÉ À FAIRE RETROUVER AUX ÉTUDIANTS LES CHEMINS DES AMPHIS

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L’artiste musicien sénégalais Omar Pène, nouvellement nommé ambassadeur de bonne volonté auprès de la communauté estudiantine, a fait part de sa volonté de favoriser le dialogue avec les étudiants ayant décidé de maintenir leur mot d’ordre de grève pour les amener à terminer l’année universitaire, tout en continuant à discuter avec les pouvoirs publics pour une « solution durable » à leurs problèmes.
Les dernières mesures sociales annoncées par le président de la République Macky Sall en faveur de la communauté universitaire. constituent « une avancée. Néanmoins, il faut continuer à discuter parce qu’il y a une partie des étudiants qui maintiennent leurs revendications et qui demandent un peu plus », a-t-il déclaré dans une interview parue dans l’édition de lundi du quotiden Le Soleil.
« Aujourd’hui, tout le monde est conscient » qu’’un peu plus doit être fait pour les étudiants et que de solutions doivent être trouvées à leurs problèmes. « C’est ce qu’il faut et nous voulons que les étudiants reprennent les cours et rejoignent les amphis », a ajouté Omar Pène,
« C’est de leur avenir qu’il s’agit. C’est cela le problème. Nous sommes presque en fin d’année. Il faut la terminer et continuer à discuter pour qu’une solution durable soir trouvée », a suggéré l’artiste.
La coordination des étudiants de Saint-Louis (CESL), par la voix de son président, Alexandre Mapal Sambou, a annoncé vendredi la reconduction de mot d’ordre de « grève illimitée jusqu’à nouvel ordre », pour notamment réclamer justice pour leur camarade Mouhamadou Falloux Sène.
La Coordination des étudiants de Saint-Louis (CESL) a décidé la semaine dernière de reconduire « jusqu’à nouvel ordre », le mot la « grève illimitée » qu’il avait décrétée suite à la la mort de l’étudiant Fallou Sène, le 15 mai dernier.
Ce dernier a perdu la vie dans des échauffourées entre forces de l’ordre et les pensionnaires de l’Université Gaston Berger (UGB) qui manifestaient contre le non versement de leurs bourses.
Contrairement à leurs camarades de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar qui ont décidé de suspendre leur mot d’ordre décrété à la même occasion, les étudants de Saint-Louis continuent de bouder les amphis pour réclamer justice pour Fallou Sène.
Ils continuent également de demander le départ des ministres de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Mary Teuw Niane, et de ses homologues Amadou Bâ (Economie, Finances et Plan) et Aly Ngouille Ndiaye (Intérieur).
Le président Sall, suite à ce drame, a d’abord reçu en audience les étudiants de Saint-Louis, puis ceux de Dakar, suite à quoi il a annoncé des mesures sociales en faveur de la communauté universitaire.
Il s’agit de l’augmentation du montant des bourses et des aides sociales et de la baisse du prix des tickets-repas, le prix du petit déjeuner revenant à cinquante francs CFA contre 75 francs auparavant, celui du déjeuner et du dîner coûtant désormais 100 francs CFA au lieu de 150/
Les bourses passent à 20 mille, 40 mille et 65 mille francs CFA contre, respectivement, 18 mille (demi-bourse), 36 mille (entière) et 60 mille (3e cycle), des mesures prises pour apaiser le climat dans les universités suite à la mort de l’étudiant Fallou Sène dans des affrontements avec les forces de l’ordre à l’UGB, le 15 mai dernier.
Des « engagements très forts et des mesures fortes. Une certaine partie des étudiants l’a compris. Mais il faut aller dans le sens du respect des engagements » pris, a commenté Omar Pène.
« Il ne faudrait pas que les choses soient annoncées et que rien ne suive (…). Cela ne sert à rien de prendre des mesures et ne pas les appliquer. Sinon, le problème va demeurer », a prévenu Omar Pène.
« J’ai décidé de faire le tour des universités, de rencontrer les étudiants et de les écouter. Il ne faut pas se lasser de porter la médiation qu’il faut, tout en comprenant les moments difficiles qu’ils sont en train de traverser », a annoncé Omar Pène.
Selon lui, ce problème finira par « se régler autour d’une table. Il faut que chacun comprenne qu’il faut trouver des solutions à ce problème. Des efforts sont en train d’être faits, a-t-il dit, même si ce n’est pas encore suffisant, disons qu’il y a une volonté de trouver des solutions ».
« Dans la vie, il ne faut pas rester figé, mais être ouvert. Notre souhait, c’est que les jeunes reprennent les cours et aillent étudier dans de très bonnes conditions », a-t-il poursuivi.
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  L’artiste musicien sénégalais Omar Pène, nouvellement nommé ambassadeur de bonne volonté auprès de la communauté estudiantine, a fait part de sa volonté de favoriser le dialogue avec les étudiants ayant décidé de maintenir leur mot d’ordre de grève pour les amener à terminer l’année universitaire, tout en continuant à discuter avec les pouvoirs publics pour une « solution durable » à leurs problèmes.
Les dernières mesures sociales annoncées par le président de la République Macky Sall en faveur de la communauté universitaire. constituent « une avancée. Néanmoins, il faut continuer à discuter parce qu’il y a une partie des étudiants qui maintiennent leurs revendications et qui demandent un peu plus », a-t-il déclaré dans une interview parue dans l’édition de lundi du quotiden Le Soleil.
« Aujourd’hui, tout le monde est conscient » qu’’un peu plus doit être fait pour les étudiants et que de solutions doivent être trouvées à leurs problèmes. « C’est ce qu’il faut et nous voulons que les étudiants reprennent les cours et rejoignent les amphis », a ajouté Omar Pène,
« C’est de leur avenir qu’il s’agit. C’est cela le problème. Nous sommes presque en fin d’année. Il faut la terminer et continuer à discuter pour qu’une solution durable soir trouvée », a suggéré l’artiste.
La coordination des étudiants de Saint-Louis (CESL), par la voix de son président, Alexandre Mapal Sambou, a annoncé vendredi la reconduction de mot d’ordre de « grève illimitée jusqu’à nouvel ordre », pour notamment réclamer justice pour leur camarade Mouhamadou Falloux Sène.
La Coordination des étudiants de Saint-Louis (CESL) a décidé la semaine dernière de reconduire « jusqu’à nouvel ordre », le mot la « grève illimitée » qu’il avait décrétée suite à la la mort de l’étudiant Fallou Sène, le 15 mai dernier.
Ce dernier a perdu la vie dans des échauffourées entre forces de l’ordre et les pensionnaires de l’Université Gaston Berger (UGB) qui manifestaient contre le non versement de leurs bourses.
Contrairement à leurs camarades de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar qui ont décidé de suspendre leur mot d’ordre décrété à la même occasion, les étudants de Saint-Louis continuent de bouder les amphis pour réclamer justice pour Fallou Sène.
Ils continuent également de demander le départ des ministres de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Mary Teuw Niane, et de ses homologues Amadou Bâ (Economie, Finances et Plan) et Aly Ngouille Ndiaye (Intérieur).
Le président Sall, suite à ce drame, a d’abord reçu en audience les étudiants de Saint-Louis, puis ceux de Dakar, suite à quoi il a annoncé des mesures sociales en faveur de la communauté universitaire.
Il s’agit de l’augmentation du montant des bourses et des aides sociales et de la baisse du prix des tickets-repas, le prix du petit déjeuner revenant à cinquante francs CFA contre 75 francs auparavant, celui du déjeuner et du dîner coûtant désormais 100 francs CFA au lieu de 150/
Les bourses passent à 20 mille, 40 mille et 65 mille francs CFA contre, respectivement, 18 mille (demi-bourse), 36 mille (entière) et 60 mille (3e cycle), des mesures prises pour apaiser le climat dans les universités suite à la mort de l’étudiant Fallou Sène dans des affrontements avec les forces de l’ordre à l’UGB, le 15 mai dernier.
Des « engagements très forts et des mesures fortes. Une certaine partie des étudiants l’a compris. Mais il faut aller dans le sens du respect des engagements » pris, a commenté Omar Pène.
« Il ne faudrait pas que les choses soient annoncées et que rien ne suive (…). Cela ne sert à rien de prendre des mesures et ne pas les appliquer. Sinon, le problème va demeurer », a prévenu Omar Pène.
« J’ai décidé de faire le tour des universités, de rencontrer les étudiants et de les écouter. Il ne faut pas se lasser de porter la médiation qu’il faut, tout en comprenant les moments difficiles qu’ils sont en train de traverser », a annoncé Omar Pène.
Selon lui, ce problème finira par « se régler autour d’une table. Il faut que chacun comprenne qu’il faut trouver des solutions à ce problème. Des efforts sont en train d’être faits, a-t-il dit, même si ce n’est pas encore suffisant, disons qu’il y a une volonté de trouver des solutions ».
« Dans la vie, il ne faut pas rester figé, mais être ouvert. Notre souhait, c’est que les jeunes reprennent les cours et aillent étudier dans de très bonnes conditions », a-t-il poursuivi.
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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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