La haute Juridiction
vient d’enrôler à nouveau l’affaire de l’approbation de la licence 4G à la
Sonatel par le chef de l’Etat, par décret. Il sera évoqué le 13 juin prochain.
Me Massokhna Kane et
Sos Consommateur avaient attaqué le décret à la Cour suprême pour demander son
annulation. Car, ils considèrent que le décret est illégal.
Selon « Les Echos », Me Massokhna Kane a fustigé l’attitude
de l’Etat, mais « attend de voir » ce que les juges de la Chambre
administrative de la suprême vont décider. « L’enjeu est extrêmement important
et nous allons défendre cela à l’audience », soutient Me Kane.
Il a aussi fustigé l’attitude des Sénégalais qui ne les
aident pas souvent dans leur combat qui sont toujours d’intérêt général.
Pour rappel, en 2016, l’Etat du Sénégal avait approuvé
l’octroi de la licence d’exploitation 4G pour une durée de 17 ans au profit de
la Sonatel, pour 54,1 millions de dollars, soit environ 32 milliards de F CFA.
Une attitude de l’Etat qui avait provoqué l’ire des défenseurs des
consommateurs, qui ont également fustigé la durée de contrat. Octroi de
la licence 4G à la Sonatel : Me Massokhna Kane à la Cour suprême le 13 juin
La haute Juridiction vient d’enrôler à nouveau l’affaire de
l’approbation de la licence 4G à la Sonatel par le chef de l’Etat, par décret.
Il sera évoqué le 13 juin prochain. Me Massokhna Kane et Sos Consommateur
avaient attaqué le décret à la Cour suprême pour demander son annulation. Car,
ils considèrent que le décret est illégal.
Selon « Les Echos », Me Massokhna Kane a fustigé l’attitude
de l’Etat, mais « attend de voir » ce que les juges de la Chambre
administrative de la suprême vont décider. « L’enjeu est extrêmement important
et nous allons défendre cela à l’audience », soutient Me Kane.
Il a aussi fustigé l’attitude des Sénégalais qui ne les
aident pas souvent dans leur combat qui sont toujours d’intérêt général.
Pour rappel, en 2016, l’Etat du Sénégal avait approuvé
l’octroi de la licence d’exploitation 4G pour une durée de 17 ans au profit de
la Sonatel, pour 54,1 millions de dollars, soit environ 32 milliards de F CFA.
Une attitude de l’Etat qui avait provoqué l’ire des défenseurs des
consommateurs, qui ont également fustigé la durée de contrat.