Le chef de l’opposition Mauritanienne n’a pas encore digéré sa condamnation qu’il juge injuste. Biram Dah Albert plus que c’est de lui qu’il s’agit est encore marqué par son arrestation le 7 août dernier, à la veille du lancement de la campagne électorale. Une élection à laquelle il devait participer pour les législatives de septembre 2018.
D’Après Biram Dah » j’ai été traîné pour la énième fois dans les geôles insalubres des prisons injustement. Seulement pour m’ empêcher de participer aux élections , voila un grand défi de l’instrumentalisation du juge qui se plane ici contre la volonté du peuple mauritanienne et de l’élite d’arriver à bâtir une véritable démocratie »
Alors que le chef et député de l’opposition venait de sortir de prison, le porte parole du gouvernement animait une conférence débat avec la presse. Une occasion pour lui de mettre en garde ceux qui instrumentalisent les séquelles de l’esclavage pour porter atteinte à l’unité national.