Leurs conditions de paiement pour les bourses familiales ont toujours été des plus inhumaines. Mais en cette période où le Coronavirus fait des ravages partout à travers le monde, les autorités en charge du paiement des bourses familiales devaient s’adapter à la situation nouvelle en offrant à ces centaines de personnes une autre alternative autre que de les exposer dangereusement.
Face à une nouvelle situation , un nouveau comportement. Aujourd’hui il est inadmissible que nos autorités acceptent cette situation à haut risque de contamination. Ce sont des centaines voire des milliers de personnes qui s’agglutinent devant les bureaux de poste pour percevoir leurs bourses familiales au mépris des mesures édictées par l’autorité à savoir la distanciation sociale et l’interdiction formelle de tout regroupement.
À qui la faute si les grenouilles n’ont pas de queue ? Et comme c’est la faim qui chasse le loup hors du bois, ces pauvres gens sont obligés de braver tous les risques pour arriver à leur fin: retourner à la maison avec la rançon de 25000 F que constitue la bourse familiale.Il faut trouver une solution rapide par d’autres canaux de paiement pour minimiser la transmission surtout que la majeur partie de ces bénéficiaires de bourses viennent d’horizons divers.La police devait agir pour disperser ces regroupements sans quoi tout le monde est exposé.
