Coup de théâtre ou mascarade du siècle. Le monde footballistique a encore une fois montré son vrai visage. Un visage voilé d’injustices et de favoritisme . Le performant Sadio Mané vainqueur de la Champions League, du Super Coupe d’Europe, finaliste de la CAN pour ne citer que ça, reste au pied du podium derrière le trio magistral de la Fifa et du France football contre toute attente.
Pourtant, que Messi soit sacré ne serait pas en soi un scandale. Mais mon Dieu, que dire de Ronaldo devenu « Penaldo » et Van Dijk, un défenseur qui ne fait que reculer devant ses adversaires, devancent Sadio, c’est ahurissant et anecdotique.
Ils ont peut-être la chance de remplir un critère visiblement très important: être de peau blanche et être des protégés de ce fameux Fifa.
Aux yeux des électeurs, « l’Enfant de Bambali » n’est pas « si beau », il est noir, Africain, donc ne mérite pas ce titre, malgré ses folles performances sur la pelouse. Purée.
Toutes ses réalisations n’auront épaté personne. Pourvu qu’il se nomme pas « Manénho », encore moins « Sadinho ».
Rien d’étonnant! car son entraineur Jurgen Klopp, lui-même, est le premier à trahir « Nianthio », lui rappelant que seuls les câlins suffisent, pour quelqu’un qui a porté toute une équipe des Reds durant les moments les plus délicats et les plus décisifs de la saison.
Donc, au-delà des fuites, des lobbies en plus de l’injustice, ce Ballon d’or France foot reste uniquement et tout simplement une affaire de Toubab. Puisque maintenant le mérite n’a plus sa raison d’être. Prochaine étape, le 7 janvier prochain et espérons peut être une consolation. Même si avec la CAF aussi, rien n’est sûr car on sait jamais. Pauvre Afrique.
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