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Actualités politiques

AFFAIRE DIALOGUE NATIONALE, PETROTIM , RAPPORT DE L’EU: Le secrétariat exécutif permanent de Benno Bokk Yakaar donne sa lecture des faits.

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Suite aux événements post- électoraux du 24 février dernier, le secrétariat exécutif permanent de la coalition présidentielle a fait face à la presse ce vendredi 21 juin pour s’y prononcer. A leur siège scie à mermoz, la SEP BBY a tenue à porter à la connaissance du public et des militants de sa coalition de sa lecture et de ses positions sur de telles situations.

Alors qu’il faisait part du pourquoi de leur conférence de presse, M. Mor Ngom porte-parole du jour à centré la discussion sur trois axes dont la première porte sur le dialogue national. L’heureuse initiative d’après eux du président de la république après sa victoire éclatante des présidentielles dernières à appeler l’opposition est de raffermir les liens sociaux des forces politiques , économiques , et sociales du pays afin de construit une cohésion social paisible , d’un Sénégal émergent et démocratique.

En effet, pour la SEP-BBY ,ce qui doit être importer le pays actuellement doit-être l’unité nationale , et pour ce il faut dépasser les positions partisanes et de penser à la sécurité du pays qui selon eux est en jeu ainsi que la stabilité des institutions.

Parlant du tollé qu’a fait l’article de la BBC, M.Ngom s’inquiète en prenant exemple sur le monde cristallogène , où l’environnement régional est marqué par la violence des conflits communautaristes mais aussi d’extrémismes djihadistes . Ainsi pour la SEP ,pour échapper à de telles épreuves désastreuses, il faut faire preuve de responsabilité et de mettre l’intérêt général au-dessus de tout intérêt partisan.

Interpellé sur le rapport de l’union européenne sur les élections présidentielles du 24 février dernier , M. Mor Ngom se dit surpris et rappelle que la commission observatoire européenne au lendemain de la présidentielle s’était félicitée du bon déroulement . Donc c’est inadmissible qu’ après trois ou quatre mois que ce même cellule sort son rapport final , rapport dans lequel il recommande curieusement à la suppression du parrainage citoyenne aux élections territoriales au motif qu’il porterait atteinte au secret du vote. sur ce il appelle à la mission d’observation à plus de retenu.

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Assemblée nationale : «Bby ne peut passer par aucune procédure pour déchoir Mimi Touré de son mandat» (Dr Mbaye Cissé, juriste)

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Après la conférence de presse du Groupe parlementaire qui a pour but de jouer avec la fibre sentimentale d’Aminata Touré pour l’amener à flancher et à jeter le tablier, le combat pour la déchéance de son mandat est enclenché.

Mais, précise ‘’SourceA’’ dans sa parution de ce mercredi, Oumar Youm et Cie vont pédaler dans le néant. Car, d’après Dr Mbaye Cissé, juriste et chercheur, interrogé par le journal, Mili Touré a bel et bien le droit de s’arroger son mandat, selon son gré, pour toute sa durée de la 14ème Législature.

«Aminata Touré n’a pas été élue par la Coalition mais par le peuple sénégalais, certes sur la base d’une liste. Et à l’Assemblée nationale, la personne de Aminata Touré compte moins que la fonction de député. La Coalition Benno Bokk Yakaar (Bby) ne peut passer par aucune procédure pour la déchoir de son mandat», explique-t-il dans les colonnes du journal.

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Khalifa Sall : « Macky Sall n’a qu’une issue : c’est partir. Lui-même ne croit pas au troisième mandat. »

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En 2012, quand  Macky Sall accédait au pouvoir,  l’espoir d’un Sénégal meilleur avait été nourri par tout un peuple. Aujourd’hui, il doit repenser le trajet parcouru, selon l’ancien maire de Dakar. 
Pour Khalifa Sall,  Macky Sall n’a qu’une issue : c’est partir. Lui-même ne croit pas au troisième mandat.  Dans la même dynamique, il signale que l’actuel chef de l’Etat n’a qu’une préoccupation : consolider son pouvoir en liquidant ses adversaires politiques. 
« Si on devait, par exemple, tirer un bilan de ses mandats, on se résumerait à combien d’opposants sont allés en prisons ? Macky Sall se prend pour un demi-dieu et ne sait pas que le vrai Dieu l’attend », fait savoir Khalifa Sall.

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L’opposition malienne s’indigne des propos d’Abdoulaye Maïga à la tribune de l’ONU

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Samedi, à la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, le Premier ministre par intérim du Mali, le colonel Abdoulaye Maïga, s’en est violemment pris au gouvernement français ainsi qu’à ses homologues africains. L’opposition malienne réplique et s’indigne à la suite de ces propos.

Le gouvernement français a été comparé à une junte par le Premier ministre malien Abdoulaye Maïga. De leur côté, le président nigérien Mohamed Bazoum et le chef d’État ivoirien Alassane Ouattara ont été accusés par le Premier ministre malien d’avoir mené une « manœuvre politique » pour conserver le pouvoir. Et le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres n’a pas non plus échappé à la critique des autorités maliennes.

Ces propos suscitent l’indignation des opposants maliens, à l’image de Babarou Bocoum, secrétaire politique du bureau politique national du parti Solidarité africaine pour la démocratie et l’indépendance (Sadi). Il pointe non seulement les incohérences du discours du Premier ministre malien, mais aussi son manque d’élégance : « Il [le colonel Abdoulaye Maïga ndlr] attaque ceux qui ont été plébiscités par leur peuple, à tort ou à raison. Il n’appartient pas au Mali ni à un dirigeant malien de dénoncer ou de remettre en cause la légitimité d’un autre chef d’État africain qui est passé par les urnes. Et cela ne peut pas être concevable lorsque ceux qui tiennent ce langage se sont imposés par des armes. Ça manquait de classe, parce que la tribune des Nations unies est une tribune qui a vu passer des éminentes personnalités qui ont réussi à faire passer leur message avec beaucoup de classe et en respectant également leurs confrères. »

Pour Babarou Bocoum, les propos tenus par Abdoulaye Maïga ne sont pas dans l’intérêt du Mali : « Tenir des propos au mépris de tous les corps diplomatiques en s’en prenant à n’importe qui et à tous les étages, ce n’est pas une politique qui honore notre pays, ce n’est pas dans l’intérêt du Mali. Et tenir de tels propos belliqueux, pendant que le pays est en train de crouler, pendant qu’on est dans l’incapacité de protéger les Maliens, au lieu d’appeler les amis du Mali à accompagner le Mali avec un discours responsable. On s’en prend toujours à des gens à tort ou à raison sans que cela puisse apporter une solution aux problèmes que nous connaissons. »

« Ils ont violé la charte de la transition pour se maintenir au pouvoir »

De son côté, Ismaël Sacko, le président du Parti socialiste démocrate africain (PSDA) et membre du Cadre d’échanges des partis politique d’une transition réussie, pointe l’inconstance et l’immaturité de l’État malien : « Nous avons vu un Premier ministre et un gouvernement ingrat, arrogant, imbus qui a préféré brandir les muscles et les menaces comme un coup d’épée dans le lot, sans effet. Ils reprochent à la Côte d’Ivoire, ce qu’ils ont reproché au président Alassane [Ouattara], de faire du forcing, de non-respect de la Constitution, d’un troisième mandant et tout ce qui s’en suit. Mais ils ont oublié qu’eux-mêmes, ils ont violé la charte de la transition pour se maintenir au pouvoir. »

Il tacle aussi le discours du Premier ministre malien concernant les allégations envers la France. Pour lui, il faut maintenant des preuves : « Cela fait presque un mois que partout, sur tous les toits, ils ont crié qu’ils ont des preuves concrètes contre la France. Ils ont eu l’opportunité de s’exprimer devant les Nations unies pour faire un show. Pourquoi n’ont-ils pas présenté une seule preuve convaincante ? Ils ont préféré faire des allégations et terminer par des menaces contre le président [Umaro Sissoco] Embaló, président de la Cédéao, qui a été le premier chef d’État à les soutenir. […] C’est un pleurnichard qui a tout simplement haussé le ton ».

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