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Economie

ANGOLA : OPERATION DE REGULARISATION DES EXPATRIES MALIENS

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Le Gouvernement angolais n’a pas fait de cadeau aux ressortissants maliens ces derniers jours. Plus d’une soixantaine d’entre eux, sont détenus dans les centres carcéraux dans la capitale angolaise aux motifs de la non-régularisation de leurs titres de séjour et le non-paiement de leurs taxes fiscales.

En effet, d’après le Porte-parole du Gouvernement malien, le Ministre des Maliens de l’Extérieur « l’opération est destinée à l’assainissement du secteur économique angolais en proie à des difficultés ». Force est de constater que les activités informelles sont une réelle pandémie au développement économique et social d’un pays

Par ailleurs, cette démarche vise toutes les nationalités y compris les Angolais qui n’ont pas de documents de maintien de séjour dans le pays ou qui n’ont pas payer leurs impôts qui leurs étaient dévolus.

Cependant, un comité de crise a été installé au niveau du Ministère des Maliens de l’Extérieur pour « suivre de près » la situation des 34000 Maliens d’Angola dont 8000 détiennent la carte Nina (carte faisant office de pièce d’identité pour les expatriés maliens en Angola).

Enfin, le Ministre Sangaré conclut que « l’Ambassade du Mali en Angola et le Conseil de base des Maliens d’Angola ont reçu l’aval du Gouvernement Malien pour apporter une assistance aux compatriotes en détention et de recenser tous les Maliens désirant retourner au pays »

Fatou Mbar Faye

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre la vie chère : 15 mesures prises par Macky Sall

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A l’issue de la réunion pour lutter contre la vie chère, le président de la République Macky Sall a prononcé le discours de clôture dans lequel il a édicté 11 mesures d’urgence et 4 mesures structurelles pour trouver une solution à ce problème lancinant. Voici les mesures prises par le chef de l’État.

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Concertations sur le coût de la vie chère : Les Propositions du Pr Macky Sall pour alléger la souffrance des sénégalais

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Dans un contexte mondial marqué par une flambée généralisée des denrées, le gouvernement a consenti des mesures de soutien à hauteur de 620 milliards de F Cfa, rappelle le chef de l’Etat lors du lancement de concertation sur la vie chère, ce lundi. Dans la recherche des voies et moyens de soutien du pouvoir d’achat, de la lutte contre la vie chère et de la protection des consommateurs, le président Macky Sall promet de lutter avec tous les moyens légaux pour éliminer toutes pratiques visant à créer des inflations au détriment des consommateurs.

«Ces pratiques sont injustes et illégales et nous allons les combattre avec vous. Des mesures d’appui notamment le soutien du consommé local à travers la plateforme de commercialisation mise en place par le ministère chargé du commerce en ce qui concerne le riz. C’est la raison pour laquelle j’ai donné instruction pour qu’une subvention de 32 f par Kg soit mise en place afin d’appuyer la rizerie locale dans l’étape de la transformation. Cependant, il faut changer les habitudes alimentaires pour nous rendre moins vulnérables au choc extérieur. Produire ce que nous consommons et consommer ce que nous produisons ne doit pas seulement rester un slogan», instruit-t-il.

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