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Trésor Public: Safcom court derrière une créance de 300 millions Fcfa depuis 17 ans.

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S’il y a une entreprise nationale à qui l’Etat doit de l’argent, c’est bien Safcom. Selon le ministre des Finances et du Budget, Abdoulaye Daouda Diallo ! c’est bel et bien la société Safcom spécialisée dans l’importation du riz.
Tenez : En 2003, le gouvernement, sous le magistère du président Abdoulaye Wade, était confronté à de sérieux problèmes de stocks pour secourir le monde rural en vivres de soudure. Pire, cette période coïncidait avec une pénurie de riz sur le marché national. Fort de ses réseaux de renseignements, « Le Témoin/Hebdo » (actuel quotidien) avait débusqué une importante quantité de riz dans les hangars de la Safcom avant de faire du « yoolé ».

Dès la parution de notre article, le Président Abdoulaye Wade avait fait « réquisitionner » toute la quantité de riz d’une valeur estimée à plus de 1 milliard de francs. Motif : Urgence humanitaire ! « Ramenez-moi toutes ces tonnes de riz dont parle « Le Témoin », et dites au propriétaire que l’Etat va payer dans les brefs délais » avait ordonné le président de la République d’alors. Aussitôt dit, aussitôt fait !

C’est ainsi que le gouvernement avait fait vider tous les magasins de la Safcom avec des bons de commande et de livraison à l’appui. Depuis lors, c’est vrai, le Trésor public a payé au compte-gouttes la plus grande partie de la créance jusqu’à ne plus rester devoir que la somme de 300 millions de francs à la Safcom. « Seul le président de la République Macky Sall peut nous aider à sortir de cette situation que nous vivons depuis 17 ans » espère le Directeur financier de la Safcom. Et si « Le Témoin » tient à faire ce cri du cœur, c’est parce que c’est lui qui était à l’origine de cette situation délicate dans laquelle s’est retrouvée la Safcom. 

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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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