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Réforme de l’hydraulique rurale : une révolution qui permet au monde rural d’accéder à l’eau potable.

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Les chefs de services régionaux et départementaux de l’administration déconcentrée et autres membres du comité régional de développement (Crd), se sont réunis, hier, autour de l’adjoint au Gouverneur, chargé des affaires administratives, Amadou Diop et du Directeur Général de l’Office national des forages ruraux (Ofor), Seyni Ndao, pour plancher sur les enjeux et les perspectives de la Réforme de l’hydraulique rurale.

 En prélude à cette rencontre, l’Ofor a lancé des Appels d’Offres internationaux pour une meilleure gestion de ces ouvrages hydrauliques. 

S’adressant à la presse, le Dg de l’Ofor, Seyni Ndao a rappelé que le Sénégal dispose aujourd’hui de plus de 2000 forages dont un bon nombre présentent des dysfonctionnements importants (si certains sont tombés en panne, d’autres sont très vétustes).

 L’idéal, a-t-il précisé, c’est de prendre en charge, dans les plus brefs délais, les frais de réparation de ces ouvrages hydrauliques, en vue de soulager la souffrance de nos concitoyens du monde rural, qui ont le droit, au même titre que l’ensemble des citoyens sénégalais, d’accéder à l’eau potable. 

Le problème du Gouvernement, a-t-il souligné, c’est de mettre en œuvre une réforme de l’hydraulique rurale, qui puisse permettre aux habitants de la campagne de disposer de ce liquide précieux, source de vie. 

L’esprit de cette réforme, a-t-il poursuivi, s’inscrit dans une perspective communicationnelle pédagogique, qui consiste à faire en sorte que toutes les populations et toutes les parties prenantes comprennent les objectifs majeurs de cette réforme.

 Seyni Ndao a fait allusion au partenariat qui lie l’Ofor à la Sénégalaise des eaux rurales (SDER), une filière de la sénégalaise des eaux(SDE), qui va l’aider à concrétiser cet Appel d’Offres International. La Sder, qui est le premier partenaire de l’Ofor, est une société sénégalaise très sollicitée à l’étranger (Arabie Saoudite, Mali, République Démocratique du Congo, etc) va piloter les travaux de l’Ofor. Cette société devra s’appuyer sur les expériences de la société mère(SDE) pour travailler dans la rigueur, la transparence, avec professionnalisme, pour assurer une meilleure qualité du suivi des eaux dans le monde rural.

Quant au Directeur Général de Sder, Mor Diop, il a magnifié l’exemplarité de la collaboration entre sa société et l’Ofor, qui permettra de relever, de fort belle manière, les défis de l’approvisionnement en eau potable en milieu rural.

 Le Dg de la Sder a laissé entendre que sa société est appelée à gérer 2.700 ouvrages et une population d’environ 1,6 million  d’abonnés, « c’est un grand périmètre que l’Ofor nous a confié, à travers ce contrat, et nous avons pris toutes les mesures qui s’imposent pour honorer ce contrat dans le professionnalisme et une bonne qualité de service ».

Dernier à prendre, le Dg de l’Ofor, Seyni Ndao, est revenu largement sur les coûts de l’eau qui sèment la discorde en milieu rural, où ils gravitent autour de 350 Fr le mètre cube et 250 F (pour les domestiques). Alors qu’en milieu urbain, ils tournent autour de 202, 700 et 800 Fr. Dans les zones rurales, les maraîchers et les éleveurs payent presque la moitié, qui est de 500 Fr, le mètre-cube. A en croire à Seyni Ndaw, le coût de l’eau est moins cher dans nos campagnes.                                                                                                   

 Mbagnick Kharachi Diagne/ CHRONIQUES.SN

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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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