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Programme Fonds/Force Covid-19 dans le Département de Ranérou : un quota de 350 tonnes d’aliment de bétail distribué aux éleveurs.

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Mobilisés derrière le préfet du Département de Ranérou, Mamadou Gueye, les responsables et membres des associations des éleveurs et agro-pasteurs de cette collectivité territoriale de la région de Matam, ont accueilli chaleureusement une forte délégation du comité national de suivi de la mise en place des opérations du Programme Fonds/Force Covid-19, doté d’un financement global d’1 milliard Cfa, conduite par Adama Diouf, ancien Inspecteur d’Académie de la région de Diourbel et ancien Directeur National des collectivités locales.

 Cette mission a effectué une grande tournée dans cette région du Fouta, en vue de s’enquérir des conditions dans lesquelles se déroulent actuellement les opérations de distribution de l’aliment de bétail et des kits alimentaires destinés aux populations vulnérables. 

Dans le Département de Ranérou Ferlo, situé à quelques kilomètres du département de Linguère, Adama Diouf s’est réjoui de la stratégie et du mécanisme très performant, mis en œuvre par le Préfet Mamadou Gueye, pour distribuer aux éleveurs de son département, un quota de 350 tonnes d’aliment de bétail.

 Ainsi, M. Diouf a rendu un vibrant hommage au chef de l’Exécutif départemental de Ranérou, qui effectue depuis le 2 mars dernier, un travail remarquable, dans le cadre de cette grande croisade contre la pandémie du Coronavirus. 

Un travail qui lui a permis de n’enregistrer qu’un seul cas positif du Covid-19 dans la commune de Houdalaye.

 Il convient même de rappeler que ce virus a été transporté vers cette localité par un éleveur qui venait de Dakar, où il a été déclaré positif. Selon le préfet de Ranérou, Mamadou Gueye et le Médecin-chef de la région médicale de Matam, cet éleveur a été consulté le 29 mai dernier au centre de santé de Ranérou, « le prélèvement a été aussitôt effectué et envoyé à Touba, à la suite de l’analyse du test à Dakar, ce vendeur de bétail a été déclaré positif ». 

Sans perdre du temps, le préfet Mamadou Gueye et les membres de son staff sont intervenus énergiquement et rapidement, en collaboration avec les autorités sanitaires de la région de Matam, pour mettre en quarantaine une trentaine de personnes qui ont eu contact avec cet éleveur.

 Il avait toutefois précisé qu’il n’y a pas un grand risque de contamination, car il s’agit d’un cas asymptomatique. Il avait rappelé que cet éleveur faisait la navette entre Dakar et Ranérou pour traiter des affaires et résoudre des problèmes relatifs à ses activités professionnelles.

Avant de quitter le département de Ranérou, qui compte un nombre impressionnant d’éleveurs, Adama Diouf a félicité vivement ces derniers, qui ont eu le réflexe et le mérite de mettre en place des comités locaux de ciblage des bénéficiaires de ce quota d’aliment de bétail. 

Ces bénéficiaires étant bien identifiés, la distribution a démarré dans d’excellentes conditions. Cette mission conduite par Adama Diouf, a eu l’occasion, également, de se rendre dans la commune de Matam, où il a pu constater que la distribution des kits alimentaires se déroule correctement à Tantadji. Il a pu aussi s’entretenir avec les transporteurs de la commune d’Ourossogui et poursuivre sa tournée vers le département de Kanel.

       Mbagnick Kharachi Diagne

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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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