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Lutte contre le paludisme : Le Groupe Ecobank mobilise près de 500 000 dollars US

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À l’occasion de la journée mondiale de la lutte contre le paludisme, le Groupe Ecobank, à travers sa Fondation, confirme son engagement pour la lutte contre le paludisme en partenariat avec Speak Up Africa, une organisation à but non lucratif de plaidoyer. A travers l’initiative « Zéro Palu ! Les entreprises s’engagent », lancée au Bénin, Burkina Faso, Sénégal et en Ouganda, le Groupe a déjà mobilisé près de 500 000 dollars US et engagé 37 entreprises locales.

Près de 500 000 dollars US. C’est la somme mobilisée par le groupe Ecobank à travers l’initiative « Zéro Palu ! Les entreprises s’engagent ». Cette initiative, rapporte un communiqué de la banque, démontre l’engagement profond de la banque à mettre à profit son expertise et son réseau de clients et de partenaires pour répondre à ce défi crucial de santé publique. L’objectif principal du projet est de permettre la participation du secteur privé dans un plaidoyer favorisant une volonté politique et des ressources accrues pour les actions visant à l’élimination complète du paludisme sur le continent africain.

Selon le document, le paludisme reste une cause majeure de décès en Afrique subsaharienne avec près de 602 000 décès en 2020 dont 80% concernent des enfants de moins de 5 ans. La même année près de 34 % des femmes enceintes ont souffert du paludisme, ce qui a entrainé la naissance de 819 000 enfants exposés à des risques accrus de problèmes de santé sur le long terme.

Le paludisme s’avère, note-t-il, être aussi un problème socio-économique. Selon une publication de la National Library of Medicine, l’Afrique perd chaque année 4,3 milliards de jours de travail, 1,5 milliard de jours d’école et lui coûte environ 12 milliards de dollars US par an. Un seul épisode de paludisme coûte en moyenne 9 dollars US à une famille, soit 3 % du revenu annuel moyen.

La Banque mondiale estime que 100 millions de personnes sont poussées dans la pauvreté en raison de dépenses de santé catastrophiques de ce type, rapporte le texte. Qui ajoute dans la foulée, qu’en plus d’être une nécessité sanitaire, la Fondation Ecobank considère la lutte contre le paludisme comme étant un enjeu incontournable du développement économique des pays africains qui demande un fort engagement du secteur privé. La participation des entreprises peut dynamiser les objectifs nationaux, en mobilisant davantage de partenaires et de ressources. C’est pourquoi, l’initiative « Zéro Palu ! Les entreprises s’engagent » est un des programmes phares de la Fondation Ecobank, confie-t-on.

Elisa Desbordes-Cissé, directrice des opérations de la Fondation Ecobank, déclare : « Nous sommes fiers d’être à la tête de l’initiative Zéro Palu ! Les entreprises s’engagent aux côtés de Speak Up Africa et d’avoir déjà réussi à mobiliser ensemble 37 entreprises dans la lutte contre le paludisme. À travers notre contribution de près de 500 000 dollars US pour les lancements du programme au Bénin, au Burkina Faso, au Sénégal et en Ouganda, nous souhaitons nous engager fortement dans le développement social de ces pays face à un fléau qui engendre encore de lourdes conséquences humaines. Par cet engagement, la Fondation Ecobank continue à être un acteur panafricain qui vise à accompagner le développement social et économique des populations à travers le continent. »

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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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