L’Université Gaston Berger, à travers le Laboratoire Électronique, Informatique, Télécommunications et Énergies Renouvelables (LEITER) accueille du 21 au 30 juillet 2019, la cinquième édition de l’École Internationale d’Été sur les Énergies Renouvelables (EIE-ENR). Pendant dix jours, une cinquantaine d’étudiants et d’experts venus du Sénégal, du Burkina Faso, de la France, de la Suisse et du Canada, vont échanger sur les énergies renouvelables. La cérémonie de lancement de l’école d’été a eu lieu dimanche dernier au Centre de Recherche et de Documentation du Sénégal (CRDS).
Le Professeur Jean Marie Dembellé, Directeur de l’UFR des Sciences Appliquées et Technologies (UFR SAT), a souhaité la bienvenue aux participants à cette école de « dimension internationale » tout en exprimant la joie de l’Ugb d’accueillir ces rencontres. Il a aussi reconnu la pertinence d’une réflexion sur les énergies renouvelables, surtout dans un contexte de changements climatiques. Enfin, le Professeur Dembellé a déclaré que l’Université accorde une attention particulière aux résultats qui seront issus de ces dix jours de travaux.
Au nom du Directeur de l’École supérieure Polytechnique de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, coorganisatrice de l’école d’été, le Docteur Mamadou Lamine Diallo, a soutenu que le processus de transition énergétique impose la prise en compte des énergies renouvelables. Le Sénégal, avec ses neuf centrales solaires, s’est engagé à promouvoir ces énergies, a-t-il précisé. C’est à ce titre qu’il a souligné que ces travaux devront proposer des solutions aux problèmes énergétiques du pays.
Quant à Pape Jean Fall du Réseau d’Échanges et de Liaison entre Institutions d’Enseignement supérieur Francophones (RELIEF), il a déclaré que l’école d’été favorise un partage d’expertises, compte tenu de la diversité des participants. Ces rencontres constituent aussi, selon lui, un moyen de promotion de l’entrepreneuriat dans le domaine des énergies renouvelables. Dès lors, il s’est dit optimiste par rapport aux conclusions qui sortiront des dix jours d’échanges.
Mme Khady Diallo, Attachée économique au Ministère des Relations Internationales et de la Francophonie du Québec, s’est félicitée de la tenue de l’école internationale d’été sur les énergies renouvelables, une problématique qui, selon elle, constitue une priorité pour le Gouvernement québécois.
Venu présider la cérémonie de lancement, le Professeur Ousmane Thiaré, Recteur de l’Ugb, a rappelé l’importance de la maîtrise des ressources énergétiques dans le processus de développement en ce sens que « l’énergie influence profondément le bien-être des individus, que ce soit à travers l’accès à l’eau, la productivité agricole, la santé, l’éducation, la création d’emploi ou la protection de l’environnement ».
Par ailleurs, il a identifié plusieurs contraintes liées à la résolution des problèmes énergétiques en Afrique. Selon lui, il s’agit des « contraintes d’ordre institutionnel et réglementaire, économiques et financières, socioculturelles et des contraintes liées à la formation ». C’est à ce titre qu’il a magnifié la mise en place à l’Ugb d’un Master Interuniversitaire en Énergies Renouvelables, mais aussi la tenue de cette école internationale d’été qui permettra à 33 étudiants de bénéficier d’un encadrement d’experts du réseau RELIEF, pour les préparer à la vie active et à la création de leurs entreprises. Il n’a pas manqué de féliciter le comité d’organisation de l’école d’été placé sous la responsabilité des Professeurs Amadou Seidou Maiga et Djicknoum Diouf.
Il faut rappeler que l’Ugb coorganise cette édition avec l’École Supérieure Polytechnique de Dakar et l’Institut International d’Ingénierie de l’Eau et de l’Environnement (aie) de Burkina Faso dans le cadre du Réseau d’Échanges et de Liaison entre Institutions d’Enseignement supérieur Francophones (RELIEF) dont la Haute école spécialisée de Suisse occidentale (HES-SO), l’Université Savoie Mont-Blanc (USMB – France) et l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR – Canada) sont membres et partenaires académiques.
Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.
D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».
Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.
Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.
Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie. Mais pour le directeur général de cette structure, cela s’explique par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1, deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.
Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ». S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.
La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.
Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.
L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.
Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.
Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier.
L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité.
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