Le premier ministre désigné Mustapha Adib renonce à former un nouveau gouvernement, face à son échec, amenant le Liban à la pire crise de son histoire alors que la situation économique pourrait continuer à se dégrader.
Cette annonce de Mustapha Adib intervient alors qu’il s’était rendu au Palais Présidentiel de Baabda où devaient cependant se tenir des discussions.
Son échec s’explique d’une part par la volonté du mouvement Amal et du Hezbollah à maintenir leurs influences sur le ministère des finances mais également par l’impossibilité à former un cabinet d’experts indépendants des partis politiques comme il le souhaitait.