Le cadre unitaire des
Syndicats de la Santé pour la justice sociale (Cuss/Js) observera une grève les
25 et 26 février prochain sur l’ensemble du territoire national.
Comme motif, le cadre unitaire des Syndicats de la Santé
pour la justice sociale (Cuss/js) exige l’aboutissement de leurs
revendications.
Cheikh Seck,
coordonnateur du Cuss/js soutient que : «tous les programmes opératoires en dehors des
urgences ne seront pas exécutés, et il en sera de même pour la Dialyse,
l’analyse médicale, la radiologie, la rééducation fonctionnelle,
l’enseignement, la supervision, les vaccinations, les consultations générales,
les soins bucco-dentaires, les consultations prénatales entre autres».
À cet effet, le
coordonnateur du Cuss/js déclare que «le maintien du mot d’ordre est lié à
l’absence de volonté de la part du gouvernement de régler le problème des
travailleurs de la santé. Et pourtant la rencontre du 5 février présidée par le
Directeur de cabinet avait suscité des lueurs d’espoirs (…). Tous ceux qui
représentaient le Ministère de la santé à cette rencontre ont bizarrement disparu
de la feuille de présence de celle du Mardi 18 Février».
Ainsi, le cadre unitaire de la santé «exige de l’État qu’il
abandonne sa politique du pourrissement, convoque les responsables syndicaux
autour des plateformes déposées et fasse aboutir les négociations sur des
résultats probants».