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Le Magal de Sokhna Diarra Bousso de Porokhane célébré aujourd’hui

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Le Magal de Porokhane, dédié à la mère du fondateur du mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba, est célébré cette année ce jeudi 22 février. Cet événement religieux a été institué en 1951 par Cheikh Mouhamadou Bachir Mbacké (1895-1966), quatrième fils du fondateur du mouridisme. Et déjà, la ville sainte est pleine comme un œuf…
Un millier de gendarmes et 600 policiers mobilisés.12 millions de médicaments, 30 toilettes mobiles, 50 camions citernes, 50 bâches gonflables, des tuyaux de 2, 800 km, 4 camions de vidange etc… sont mobilisés…. Et des dispositions prises pour une bonne gestion de l’eau, la santé, l’assainissement, le transport et l’électricité, pour assurer aux pèlerins un bon Magal.

Selon jazbu.com, Sokhna Mariama Bousso dite Mame Diarra naquit en l’an 1250 de l’Hégire (1833), de Serigne Mouhammadou Bousso et de Soxna Astou Waalo Mbacké. Elle disparut en l’an 1283 (1865). Sokhna Diarra descend de par son père, de Hassan, petit fils du Prophète (PSL). Sa mère Soxna Astou Waalo, qui vécut cent trente huit (138) ans, enseignait le coran. On raconte à son sujet qu’elle récitait depuis l’âge de trente ans, chaque nuit, tout le saint Coran en huit (8) Rakkas.
Le surnom de Diâriyatul Lâhi (Voisine de DIEU) qui donnera le diminutif Mame Diarra que lui valurent ses nombreuses qualités spirituelles et humaines est attribué à juste titre à cette vertueuse créature qui vécut et se complut, sa vie durant, dans l’entretien de relations conviviales et chaleureuses avec tout son entourage.
Élevée par ses deux parents, Mame Diarra restitua à dix (10) ans oralement et par écrit tout le Coran. A dix-neuf (19) ans, elle termina l’étude des sciences religieuses comme la théologie et la jurisprudence et fit, à vingt (20) ans, ses premiers pas sur le dur chemin du soufisme. Avec l’aide de Dieu, elle franchit la dernière étape symbolisée par l’âme parfaite (Nafsun kaamila).
Eduquée dans cette atmosphère de piété et de spiritualité, Mame Diarra fit de la prière, du jeûne, des dons pieux et du travail son viatique. En tout temps et en tout lieu, elle obtempérait aux prescriptions divines, source de bénédictions et de félicité et évitait tout interdit, source d’immoralisme et de déchéance.
Mame Diarra détenait par-dessus tout une force spirituelle rare chez une femme, force qui lui permit de percevoir très tôt et de taire les miracles qui se manifestaient en la personne de son fils Cheikh Ahmadou Bamba, Khadimou Rassoul. Elle fit même tout pour les cacher à son entourage et ne finit par s’en ouvrir – sur son insistance! – qu’à son oncle Tafsir Mbacké Ndoumbé qui avait perçu chez son jeune neveu des signes et des dons exceptionnels.
La majeure partie de ses contemporains certifia que Mame Diarra Bousso ne demandait jamais à son époux de l’argent pour la subsistance de la famille. Elle se débrouillait en cas de difficultés, selon ses propres moyens, pour assurer les repas quotidiens, parce qu’ayant l’intime conviction que de l’ampleur des sacrifices consentis, dépendront la grandeur et la bénédiction de sa progéniture.

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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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