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La BDEAC affiche son ambition de lancer la deuxième phase de son programme d’emprunt obligataire triennal sur le marché financier de la CEMAC.

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L’objectif visé est d’appuyer efficacement la relance économique post-covid19 par le financement du secteur privé et soutenir la mise en œuvre des projets intégrateurs de la Communauté. Téléchargez le document ci-dessous pour accéder l’intégralité de l’article développé par Courrier confidentiel du Groupe Afrique Média suite à l’interview accordée par Monsieur Fortunato-OFA MBO NCHAMA, Président de la BDEAC.

Les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) tournés vers la relance de l’activité post-Covid-19 ont besoin des financements pour  retrouver le chemin de la croissance. Face à une demande sans cesse croissante des demandes de financement,  la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (BDEAC), annonce le lancement d’un emprunt obligataire de 100 milliards de FCFA sur le marché sous-régional. Cet appel public à l’épargne (APE) intervient un an après le précédent emprunt de 100 milliards de FCFA dénommé « BDEAC 5,45 % Net 2020 – 2027 » qui avait permis de mobiliser près de 107 milliards de FCFA (196 millions de dollars) lors de la période de souscriptions du 21 au 29 Décembre 2020.

La nouvelle opération attendue sur le marché financier d’Afrique centrale rentre dans un plan global de financement de 300 milliards de FCFA, approuvé par cette banque pour la période triennale 2020-2022. «Nous avons réalisé avec beaucoup de succès une première phase de. Pour cette année 2021, nous sommes déjà en train de travailler sur la 2e phase, qui portera aussi sur 100 milliards de FCFA », a indiqué le président de la BDEAC, Fortunato-Ofa Mbo Nchama. S’il est vrai que le succès de la première opération serait de nature à encourager la banque de développement à solliciter l’épargne sous-régionale pour faire avancer le développement communautaire dans cette partie du continent, « nous nous rendons compte que les sollicitations augmentent, de façon exponentielle, non seulement pour les Etats, mais aussi pour le secteur privé. Vu notre notoriété, nous n’avons plus le droit de ne plus répondre à ces sollicitations. C’est pour cela que nous allons continuer à mobiliser les ressources », a-t-il précisé.

En attendant que les principales caractéristiques de ce emprunt soient publiés, tout laisse croire que les fonds mobilisés serviront comme lors de la précédente opération à la mise en œuvre des projets intégrateurs prioritaires du Programme Economique Régional (PER) de la CEMAC à quoi se grefferont plusieurs projets de développement dans les secteurs aussi variés que l’agriculture, l’eau, l’énergie, les transports et les télécommunications. Raison pour laquelle « nous pensons que les investisseurs trouveront de meilleures conditions dans c cet emprunt obligataire de la BDEAC. Et nous pensons que toutes les offres ont leur place dans ce marché communautaire et que les réponses vont être fonction des critères des investisseurs », a déclaré le président de la BDEAC, convaincu que les Etats et le secteur privé ont intérêt à promouvoir ce modèle de financements.  

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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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