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Economie: En 2023, le Sénégal sera l’économie la plus dynamique en termes de croissance

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En 2023, le Sénégal sera l’économie la plus dynamique en termes de croissance. Avec une prévision de 10,8%, le Fonds monétaire international (Fmi) place notre pays derrière le Mozambique (12,6%) et le Niger (10,4%). En Afrique ce sont les trois pays qui auront un taux de croissance à deux chiffres en 2023.

10,8%. C’est la prévision du taux de croissance du Sénégal par le Fonds monétaire international (Fmi) pour l’année 2023. Ainsi, le Sénégal est fait partie des pays qui ont enregistré le plus important bond en termes de points puisque pour 2022, ce taux est prévu à 5,5%. Le Fmi prévoit donc un gain de 5,3 points, en deux ans seulement, pour notre pays. Ces informations sont contenues dans le Rapport sur les perspectives de l’économie mondiale pour octobre 2021. Celui-ci présente la croissance projetée du Produit intérieur brut (Pib) de cette institution de Breton Woods pour les pays du monde entier.
Le Sénégal est placé, pour l’année 2022 à la 17e place au niveau africain, avec un taux de croissance projeté de 5,5%. Pour l’année suivante, ce taux est de 10,8%. Elle place ainsi le Sénégal dans le trio de tête des économies africaines qui ont le plus important taux de croissance. Il vient juste après le Mozambique qui devra enregistrer un taux de croissance de 12,6% et devant le Niger dont le Fmi projette le taux pour l’année 2023 à 10,4%.
Ces trois pays, qui doivent enregistrer un taux de croissance à deux chiffres, ont tous un point commun : la découverte et la phase active de l’exploitation des hydrocarbures pour l’année 2023. Certains pays, nouveaux producteurs d’hydrocarbures suivent ce trio dans les projections du Fmi. Parmi eux, il y a notamment la Mauritanie avec un taux de 8,6%. Le Rwanda avec une projection de 8,1% en termes de taux de croissance fait aussi partie des meilleures performances pour 2023.


Pour l’année prochaine, 2022, le Niger est le seul pays du trio de tête de 2023, à faire partie du Top 15 des pays ayant le plus important taux de croissance. Niamey va enregistrer en 2022 un taux de croissance de 6.6% selon les projections du Fmi. Pour ce classement de 2022, les pays en tête sont ceux à revenu intermédiaire avec une économie relativement bien structurée comme les Seychelles, Maurice, l’Afrique du Sud, le Nigeria, l’Algérie, le Kenya, le Cap Vert ; des pays avec des ressources naturelles importantes comme la Côte d’Ivoire, la Guinée, la Ghana, la Rdc ; mais aussi des pays pétroliers comme le Soudan du Sud.
Dans l’ensemble, ces performances sont loin d’être anodines puisque des pays comme la Guinée Equatoriale, riche en hydrocarbures, ont enregistré une croissance négative. Bata s’est retrouvée avec -5,6% en 2022 et -1,5% en 2023. D’autres économies stagnent pendant cette période. C’est le cas du Nigeria avec notamment un taux de croissance de 2,7% en 2022 et en 2023.
La base de données des Perspectives de l’économie mondiale présente l’analyse et les projections des services du Fmi sur l’évolution économique au niveau de la planète. Il est publié en avril et septembre/octobre de chaque année. On y retrouve, entre autres, les comptes nationaux, l’inflation, les taux de chômage, la balance des paiements, les indicateurs fiscaux, les agrégats macro-économiques, les prix des matières premières, etc.

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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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