La Première Dame , Mme Marième Faye
Sall, par l’entremise de sa Fondation, s’est encore manifestée pour remettre
des lots importants de motopompes aux populations de la ville tricentenaire.
Par ce geste, elle vient renforcer les moyens dont disposent ses concitoyens de
la vieille cité, obligés actuellement de passer le plus clair de leur temps à
pomper et évacuer les eaux de pluies, surtout dans les localités situées dans
les zones inondables du faubourg de Sor. Des zones où la nappe phréatique
est affleurante, causant de nombreux désagréments aux populations.
Du fait de cette situation pénible et
embarrassante, aggravée par les pluies diluviennes, les populations sont
obligées de se retrousser les manches et de se ceindre les reins pour se
débarrasser de ce trop-plein d’eau qu’on retrouve dans les chambres, les
cuisines, les blocs d’hygiène, les enclos aménagés pour le bétail, les magasins
de stockage de denrées alimentaires, etc.
Ainsi, ce don de Mme Marième Faye
Sall, a été réceptionné officiellement par le Directeur Général du Crous, Pape
Ibrahima Faye, par ailleurs, Responsable de l’Apr dans plusieurs localités de
Sor.
M. Faye a rendu un vibrant hommage à la
présidente de cette Fondation, insistant longuement sur sa farouche volonté
d’améliorer les conditions de vie des populations démunies.
Il a rappelé que les missions de cette
Fondation, consistent à favoriser toutes
les actions sociales en faveur des populations fragilisées, à encourager les
associations, les Organisations Non Gouvernementales ainsi que les initiatives
privées en faveur de ces populations.
Selon le Dg du Crous, les objectifs de
notre Première Dame, consistent à œuvrer, à travers cette Fondation, à la
promotion économique et sociale des Sénégalais et à l’avènement d’un
Sénégal de prospérité et de bien-être, à apporter aux plus défavorisés un
soutien médical, notamment en matière d’hygiène et de prévention, à renforcer
les équipements des établissements hospitaliers ou sanitaires pour un meilleur
accès aux soins, à faciliter l’accès à l’eau potable par la construction,
la rénovation et l’entretien des sources, à offrir un appui logistique et
financier dans les domaines de l’éducation, de la santé et de l’environnement, participer
au financement, à la création ou à la rénovation des centres de soin ou
dispensaires et à favoriser la construction, la rénovation et
l’entretien des lieux de culte.
Cette Fondation, sous la houlette
de la première dame, a-t-il poursuivi, s’évertue également à développer, dans
les établissements scolaires, des moyens pédagogiques appropriés aux élèves,
susciter et encourager toute recherche scientifique dans les domaines
susvisés par des actions diverses et notamment par la création d’un prix
récompensant les travaux de recherche, et à organiser des actions d’éducation,
d’information et de sensibilisation pour l’émergence d’une citoyenneté
écologique et le développement d’une conscience environnementale.
Le choix d’être constamment au
chevet des populations vulnérables
La Première Dame du Sénégal, Marième
Faye Sall est née à Saint-Louis, avant de s’établir avec sa famille à Diourbel.
Quatrième d’une famille de huit enfants, elle décroche un baccalauréat
technique pour se spécialiser dans l’électrotechnique à l’Institut Supérieur de
Technologie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, avec l’ambition de
poursuivre une carrière en génie électrique. Elle fait le choix, après son
premier enfant, de se consacrer entièrement à sa
famille. Ascendance peule et sérère et ayant évolué en milieu wolof,
Marième Faye Sall a très tôt été immergée dans les valeurs qui fondent
aujourd’hui la stabilité multiethnique du Sénégal.
Attachée à une vie de famille paisible,
elle a réussi à faire l’unanimité autour de son humilité non feinte et sa
grande capacité d’écoute et de communication avec les jeunes et les populations
défavorisées.
Mme Sall est fière d’avoir contribué,
aux côtés de son époux, avant puis durant la campagne électorale de 2012 et
depuis l’accession de ce dernier à la magistrature suprême, à faire avancer le
Sénégal vers un nouveau creuset d’humanisme, de partage équilibré et
transparent des opportunités, au bénéfice des plus vulnérables et des déshérités.
Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.
D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».
Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.
Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.
Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie. Mais pour le directeur général de cette structure, cela s’explique par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1, deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.
Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ». S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.
La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.
Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.
L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.
Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.
Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier.
L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité.
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