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Diourbel : Centenaire de la commune de Diourbel , les lampions se sont éteints sur une frustration de la jeunesse

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Les lampions se sont éteints sur le centenaire de la commune de Diourbel qui a été un instant de communion, de partage, de communication mais aussi de contradictions. Des forums en passant par des animations culturelles, les diourbellois avaient l’opportunité de passer au crible tous les maux et difficultés qui phagocytent le développement de leur cité, mais un pan important que constituait la jeunesse ne s’est pas sentie impliquée ni en amont, encore moins en aval et s’est faite entendre le jour de la cérémonie de clôture pour manifester son désaccord.

 

Quatre jours de festivités ont rythmé la vie des Diourbellois en ce centenaire de la commune de Diourbel. L’équipe municipale qui est la maîtresse d’œuvre a mis les petits plats dans les grands pour donner à cette cérémonie un cachet particulier. En plus d’être une occasion de revisiter le passer pour retrouver des repères, cela a été aussi une un moment de réflexion et de projection vers des lendemains meilleurs par la tenue d’un forum animé par d’éminentes personnalités et fils de Diourbel: le Professeur Lamine Gueye, recteur de l’Université Alioune Diop, de Mamadou Tall ancien Président du conseil Régional de Diourbel, et du Docteur Amath Niang Président de l’ordre national des pharmaciens.

 

La cérémonie de clôture qui avait pour marraine madame Aminata Tall, présidente du Conseil Economique Social et Environnemental et ancienne mairesse de Diourbel et comme parrain le ministre du budget monsieur Birima Mangara a réuni d’éminentes personnalités comme le premier ministre Souleymane Ndene Ndiaye, du ministre des sports monsieur Matar Ba, du ministre Pape Diouf pour ne citer que ceux-là.

 

Dans le même instant les jeunes dès navetanes sont venus jeter le pavé dans la marre. Ils ont tenu à se faire entendre pour réclamer au maire les subventions et l’organiser de la coupe du maire  qu’ils ne parviennent pas à obtenir voilà maintenant deux ans et disent qu’ils n’ont pas été associés à cette fête qui devait être celle de la jeunesse. Un cheveu dans la soupe qui a failli perturber la cérémonie.

 

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