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Développement de la riziculture dans la vallée : Matam accélère la cadence avec les projets ASAMM et APEFAM.

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Avec le plan Sénégal Emergent (PSE) à travers le volet Programme de Relance et d’Accélération de la Cadence de l’Agriculture au Sénégal (PRACAS), la riziculture irriguée est centre du programme. En perspective de la campagne SSC (Saison sèche chaude) de 2019, Matam ne lâche rien. Les prévisions pour la campagne d’hivernages 2018-2019, inscrits dans la LM12 (Douzième Lettre de mission de la SAED) pour la Délégation de Matam, sont de 11 350 ha (dont 88% pour le riz, soit 10 000 ha). Mais les intentions ont été de 9 300 ha. Au terme de la Campagne, les producteurs de la délégation de Matam ont emblavé 7 177,31 hectares.

Ce résultat est obtenu grâce aux principales actions menées. Il s’agit notamment de l’accélération des travaux d’aménagement,  (FOMP, travaux PAM; Programme Waoundé…), de la réunion de coordination tenue le 11 mai 2018, feuille de route dressée et partagée avec le dispositif de conseil, de la méthodologie utilisée : screening, basé sur l’existant en termes de périmètres rizicultivables et de pointage de chaque OP (Organisation paysanne), selon ses possibilités de conduire la campagne.

 Parmi ces actions, on peut également retenir la tenue et la prise en charge de la CRD préparatoire de la Campagne hivernale de production agricole (le 21 juin 2018). Parlant des prévisions de la campagne SSC (Saison sèche chaude) de 2019, qui sont celles contenues dans la lettre de mission actualisée, les cadres de la Saed de Matam ont fait savoir que les dossiers de crédit des OP étaient en cours de finalisation/ dépôt pour le second comité de crédit. En ce qui concerne le premier comité, seuls les dossiers du Casier de Matam ont été étudiés avec un accord sous réserve. Les intentions de mise en valeur dans les différentes zones dépassent largement les prévisions, ce qui montre l’engouement pour la campagne.

Dans cette dynamique, il est important de noter l’intervention de plusieurs programmes dans la zone de Matam comme : le Projet d’Amélioration de la Sécurité Alimentaire et de l’appui à la mise en Marché dans la région de Matam (ASAMM) avec des réalisations concrètes : celle du casier de Ndoulomadji 422, 89 ha, de Bossea, 1.200,46 ha, d’Ouro Thierno, 251, 89 ha, de Sinthiou Mogo 118,1 ha, pour ne citer que ces casiers et la liste est loin d’être exhaustive. Il faut noter également la présence du Programme d’Appuie à la Promotion des Exploitations Familiales dans La Région de Matam (APEFAM) qui est en cours d’exécution avec des réalisations attendues, notamment dans les casiers de Nabadji: 520ha,  de Diolol Diawbé: 400ha, Casier Oréfonde, entres autres prévisions. S’y ajoute le PAM: Ce projet logé à la Délégation de Matam est constitué de trois lots de travaux et un lot d’équipements de pompage, non sans parler du projet de Wawoundé qui est également logé au niveau de la DAIH (Saed) et, est constitué de trois lots de travaux et d’un lot d’équipements de pompage.

Mbagnick Kharachi Diagne/ CHRONIQUES.SN



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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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