Après l’audience concluante, empreinte de cordialité avec le ministre de
la Culture et de la Communication, en présence du Directeur de la Société
sénégalaise des droits d’auteur et des droits voisins (Sodav), Aly Bathily,
l’Association Saint-Louis/Jazz, sous la houlette de son président, Me Ibrahima
Diop, rafraichit ses relations avec ses partenaires, en vue d’assurer la bonne
tenue de sa 28e édition.
Dans un communiqué qui nous est parvenu hier, par l’entremise de Mame
Birame Seck, membre du staff de Me Ibrahima Diop, les responsables de
l’Association Saint-Louis/Jazz, nous ont donné une idée des démarches et autres
tractations entreprises par Me Ibrahima Diop et ses proches collaborateurs,
auprès de leurs partenaires, en vue de faire les derniers réglages pour
l’organisation de la 28ème édition de cet événement culturel de
grande envergure, qui se déroulera dans la capitale du Nord, du 27 mai au 1er juin
2020.
Ainsi, selon le président Me Ibrahima Diop et le Responsable de la
programmation artistique, Mame Biram Seck, le partenariat avec le Grand-Duché
de Luxembourg se renouvelle et s’étoffe avec l’engagement de ce dernier
d’accompagner l’événement et d’amener un retentissant groupe.
La Bicis BNP Paris, traditionnelle collaboratrice de Saint-Louis Jazz, a
également réitéré son engagement à soutenir ce rendez-vous culturel majeur. Ce,
au cours d’un entretien avec le président DIOP et son Directeur Général,
vendredi, à
Dakar. Rose Custis, l’attachée Culturelle de l’Ambassade des États-Unis a
échangé avec le Président de Saint louis Jazz dans le cadre des visites de
courtoisie rendues aux partenaires de Saint-Louis, lors de son 1er séjour dans
la ville du 5 mars 2020.
Il faut par ailleurs ajouter que, cette année, des synergies sont
obtenues avec la biennale de Dakar. Une grande première et une façon d’exprimer
tous les pans de l’art et de culture à l’occasion de ce festival international.
Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.
D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».
Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.
Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.
Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie. Mais pour le directeur général de cette structure, cela s’explique par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1, deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.
Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ». S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.
La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.
Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.
L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.
Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.
Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier.
L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité.
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