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Daande Maayo, en descendant le fleuve Sénégal: un livre de photographies réalisé par Yves Barou et Djibril Sy

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Le fleuve Sénégal méritait un grand livre de photographies. C’est chose faite avec la publication de « Daande Maayo, en descendant le fleuve Sénégal » des photographes, Djibril Sy et Yves Barou, aux éditions Tohubohu. 

Ce livre grand format de 240 pages, a été présenté au public, lors d’une cérémonie de dédicaces, qui a eu lieu récemment dans un hôtel de Lodo (Nord de l’île de Saint-Louis). C’est un livre produit pour saisir et partager les lumières et les émotions du fleuve. 

 Selon Djiby Sy, il s’agit d’un livre de photographies du Fouta Djalon à Saint-Louis, à travers quatre pays, avec aussi des textes de Hamed Diané Séméga, Haut-Commissaire de l’Omvs, d’Alioune Kâne, professeur à l’Ucad, de Baaba Maal, chanteur-compositeur sénégalais très célèbre, d’Oumar Djiby Ndiaye et d’Abdoul Sow, Professeurs à l’Ugb, ou encore de Lionel Zinsou, économiste, ex-Premier Ministre du Bénin. Ces textes et ces photos parlent de l’histoire, des enjeux d’aujourd’hui, du climat et du développement, de l’énergie et de la navigabilité.

 Djibril  a son studio-photo à Saint-Louis. Il rêve des sources et des montagnes du Fouta-Djalon, Yves est tombé amoureux du fleuve Sénégal. Ensemble, ils ont décidé de le descendre, avides de découvertes pour des regards croisés franco-sénégalais sur 1800 kms, quatre pays, notamment la Guinée-Conakry, le Mali, la Mauritanie et le Sénégal. 

 Ils étaient à la recherche d’ambiances, de lumières, de couleurs et les photographes qu’ils sont, ont été comblés. Ils ont capté des images, eu des coups de cœur et beaucoup d’émotions. Ils ont voulu nous les offrir, pour partager leur regard original, subjectif et toujours passionné. Au fil de l’eau, Daande Maayo en peulh, le fleuve est une permanente source d’inspiration, nourrie par ses riverains, en symbiose avec lui. Un fleuve, c’est la vie. Daande Maayo, ce fut des rencontres inattendues, surprenantes, dont ces quelques entrevues rendent compte.

Dans un communiqué de presse qu’ils nous ont fait parvenir, Yves Barou et Djibril Sy, précisent que le fleuve Sénégal façonne tout au long de ses 1800 kilomètres, des paysages authentiques généreux pour les yeux et fait vivre ses milliers de riverains. C’est à la fois un trait d’union et un bien commun qui répond aux enjeux du développement africain et qui peut redevenir l’interface logique entre la terre et la mer.

En effet, c’est un voyage le long du fleuve, auquel nous convient les auteurs, avec de véritables rencontres, une découverte de ses paysages, de ses villages, de ses légendes, des populations riveraines, des conséquences du réchauffement climatique. Entre nostalgie de la grandeur passée et prémisses du développement.A travers cette œuvre d’assez-bonne facture, on comprend aisément que la promesse d’un fleuve, c’est de rejoindre la mer. Mais ses méandres et ses surprises, aux sources comme à l’embouchure, nous entraînent beaucoup plus loin. Ce livre est vendu au bénéfice de l’Ong « La Liane », qui est une association de solidarité internationale basée à Saint-Louis, où elle accueille depuis 12 ans, des jeunes en difficulté. La Liane a aussi créé une maison des enfants et une autre pour les femmes.                                                                      

  Awa Diagne Sall Kharachi

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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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