Les audiences de l’ancien chef d’État ivoirien Laurent Gbagbo et de l’ex leader du congres panafricain des jeunes patriotes sont réouvertes, ce 12 novembre à la Haye. post
poursuivis pour des crimes contre l’humanité durant la crise -électorale de 2010 2011, Laurent Gbagbo et Charles Ble devront prouver que les 150 femmes violés en plus des 3000 que les Nations Unies avaient déclarés en janvier 2015 n’étaient pas sous leurs responsabilités.
Pour rappel, le discours prononcé par laurent Gbagbo à Divo, dans l’ouest du pays, le 27 Aout 2010, dans lequel l’ancien président ivoirien s’adressait aux CRS( Compagnie républicaine de Sécurité) qu’il qualifie de » combattants de la République » » quand on dit que la république est menacée , vous apparaissez pour la défense » avant d’y ajouter » s’il y a des dégâts , les juges après rétabliront » ceci fut la chose qui incite le procureur a voir que c’est Monsieur Gbagbo qui a invité les forces de l’ordres qui lui étaient loyales à commettre ces crimes.
Cependant , cette semaine c’est au tour des avocats de la défense, d’expliquer le pourquoi, ils demandent un abandon des charges d’autant plus que l’enquête du procureur est jugée incomplète par les avocats de l’ex chef d’État ivoirien.