L’opposition congolaise s’était réunie ce 24 octobre 2018 à Johannesburg autour d’une conférence dont l’objectif principal est « l’évaluation du processus électoral » et « de discuter avec les congolais sur comment l’Afrique du sud et la communauté internationale peuvent aider à avoir des élections transparentes et inclusives » comme l’explique jean pierre Bamba l’un des cadres du PANH.
En effet, la contestation du fichier électorale et de la machine a voter qui avait soulevé des tensions au Congo vient d’avoir sa solution. Un accord a été trouvé ce jeudi en Afrique sud entre les candidats de l’opposition congolais à la présidentielle. En apparence, les sept candidats du gauche ont réussi à maintenir un front commun. Dès lors ils continuent leur demande sur le nettoyage du fichier électoral après les déclarations contradictoires de ces derniers jours.
D’Après le fils du leader historique de l’opposition Felix Tshisekeli, troisième aux élections de 2011 « il était crucial que l’opposition s’engage à ne pas boycotter le scrutin, car tous les deux ayant été autorisés à concourir à la présidentielle.
Cependant, à l’inverse de Felix, Jean Pierre Bamba, lui voit « qu’il faut à tout prix maintenir la pression pour avoir un scrutin le plus crédible possible, d’où l’exigence du retrait de la controversée machine à voter.
Un autre point qui reste à être éclairci est celui de la désignation d’un candidat unique de l’opposition car depuis la publication de la liste définitive des candidats, la décision sur l’identité de cette personne reste mystérieuse puisqu’ un report a été prévu pour le 15 novembre au plus tard.