Apple a lancé ses AirTags le 20 avril 2021 : sommairement, il s’agit d’une balise Bluetooth pour repérer ses objets perdus. Mais les AirTags sont bien plus qu’un simple émetteur, car ils agissent dans un immense réseau d’objets trouvés.
AirTag, AirTags Apple Tag, Apple Tile, Wistiki avec une pomme… : le secret le moins bien gardé d’Apple a porté bien des pseudonymes, qui définissent tant bien que mal ses fonctionnalités. Et pour cause : le marché de l’objet connecté en Bluetooth à accrocher à un autre objet qui n’a pas de connexion a du mal à construire une communication efficace autour de son utilité. On sait pourtant que, si Apple l’investit, c’est qu’il y a une demande et une opportunité de gagner de l’argent avec — ce qui se matérialise peut-être par le succès du leader, au moins aux États-Unis, nommé Tile.
Mais de quoi parle-t-on, pour faire simple ? D’un petit objet tout fin à accrocher à un autre objet que vous ne souhaiteriez pas perdre (porte-monnaie, porte-clef, carte bancaire, télécommande, animal de compagnie, doudou, enfant…).