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Afrobasket 2021: la 30e édition débute, ce mardi 24 août au Rwanda

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Le 30e Championnat d’Afrique masculin de basketball, l’Afrobasket, débute, ce mardi 24 août au Rwanda. Seize équipes sont en lice. Il y a quatre ans, lors de la dernière édition, les Tunisiens l’avaient emporté. Ils sont de nouveau candidats au titre, mais ils ne sont pas les seuls. Le tournoi semble plus ouvert que jamais.

Seize équipes du continent ont décroché leur ticket pour participer aux phases de groupes et tenter d’atteindre la finale qui se déroulera le 5 septembre. À l’heure actuelle, il est encore difficile de dégager un favori. Les basketteurs nigérians auraient pu porter cette étiquette mais l’équipe présente à Kigali n’a rien à voir avec celle qui représentait le continent, à Tokyo, aux Jeux olympiques, il y a un mois. Les stars estampillées NBA ne sont pas venues au Rwanda… Le Nigeria n’en reste pas moins un client de choix, champion d’Afrique en 2015 et finaliste de la dernière édition en 2017, battu par la Tunisie qui, elle, comptera une nouvelle fois sur un collectif rodé pour tenter de conserver son titre.

Les Sénégalais, troisièmes du dernier Afrobasket, arrivent aussi avec beaucoup d’ambition, portés par leur pivot, Gorgui Dieng, qui, après Minnesota Memphis et San Antonio, vient de s’engager avec les Hawks d’Atlanta.

L’Angola, onze fois champion d’Afrique – la dernière en 2013 – aura son mot à dire assurément.

Les Ivoiriens, rois du continent en 1981 et 1985, rêvent, eux, de retrouver leur niveau d’antan. Et ne sous-estimons pas les basketteurs rwandais. Dans une Kigali Arena qui s’annonce bouillante, ils pourraient bien jouer les trouble-fête.

Les premiers matchs de cet Afrobasket, ce mardi, à Kigali : Tunisie/Guinée et Centrafrique/Egypte, dans le groupe B, et dans la soirée, le groupe A, Rwanda/RDC et Angola/CapVert.

En Afrique du Sud, le basket devient de plus en plus tendance

La compétition pourrait inspirer des pays non qualifiés, comme l’Afrique du Sud où la NBA a installé ses bureaux, à miser davantage sur ce sport. Même si au sein de la nation arc-en-ciel, le football est de loin le sport le plus populaire dans les townships et que la faiblesse des structures nationales freine le développement du basket, le goût de ce sport se transmet, peu à peu, grâce à quelques passionnés que notre correspondante à JohannesburgClaire Bargelès a rencontrés.

Il y a six ans, Masonwabe Mene est passé devant les terrains multicolores de la Soweto Basketball Academy et a commencé à faire quelques dribles. Depuis, le jeune homme de 16 ans ne peut plus s’arrêter : « Je viens ici tous les jours, même quand je n’ai pas d’entraînement de prévu, pour être sûr de travailler ma technique. La culture du basket grandit tout doucement. Mes amis, en dehors, suivent aussi des joueurs de la NBA. Ça commence, petit à petit, à devenir un sport cool. »

L’académie, créée en 2013, entraîne plus de 200 jeunes de Soweto. Monwabisi Dlamini, plus connu sous le nom de Coach Mo, est l’un de ses cofondateurs : « Je viens de ce quartier et quand j’étais petit, il n’y avait pas du tout de basket. J’ai commencé à jouer quand j’avais 18 ans et je me suis rendu compte que c’était beaucoup trop tard pour jouer à haut niveau. C’est pour cela que j’ai lancé cette académie, afin que cela ne se reproduise pas pour d’autres jeunes. »

Kamohelo Raphoto a elle déjà été sélectionnée en équipe nationale des moins de 18 ans et le développement du basket sur le continent, ces dernières années, l’encourage à continuer: « Lorsque j’ai joué pour l’équipe nationale, j’ai vu les autres basketteuses africaines. J’ai vu leur technique, leur force et comment elles ont évolué. Donc en Afrique du Sud, on essaie de convaincre les autres filles qu’on peut aussi y arriver et qu’on peut jouer comme ces autres pays africains. »

Coach Mo rêve de voir, d’ici 10 à 15 ans, la nouvelle génération placer l’Afrique du Sud sur la carte du basketball.

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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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