Le Comité national de gestion de lutte (CNG) a rencontré les acteurs de la lutte jeudi, à l’Arène nationale, pour une discussion autour des nouvelles mesures prises pour la saison 2022-2023.
Le CNG a pris de nouvelles mesures pour la saison 2022-2023. Le comité national de gestion de lutte a pris la décision de revoir à la baisse le temps des combats.
Pour les combats préliminaires, le temps passe de 25 à 15 minutes (2x5mn et éventuellement une prolongation de 5mn). Concernant les combats leaders, le temps passe de 40 à 25mn (2x10mn et une éventuelle prolongation de 5 mn).
Parlant des cagoulards, Bira Sène et Cie indiquent qu’ils seront non seulement obligatoirement identifiés mais ne pourront même plus accéder dans l’arène.
Plus d’entraîneurs sans formation
Le CNG avait retenu de désormais démarrer les combats à 16h00 et de siffler le combat-leader à 19h00. Mais, vu l’insistance des promoteurs qui ont demandé qu’on revoie ces deux dispositions, il n’est pas exclu que l’instance dirigeante de la lutte y apporte quelques petits réglages. Par exemple, un promoteur a proposé qu’on relève l’heure à 16h45. Et le CNG pourrait le leur concéder puisqu’il n’a pas été aussi flexible sur ces deux points.
D’autres points ont été soulignés par le CNG. C’est le cas du cumul des fonctions. Il ne devrait plus être autorisé à quelqu’un, dorénavant, d’être à la fois promoteur, manager, entre autres fonctions cumulables.
Le CNG s’est également prononcé sur la question des entraîneurs. Désormais, il faudra passer la formation au CNG pour pouvoir être reconnu comme entraîneur.
« Les entraineurs devront maintenant obligatoirement se munir d’une serviette, d’une bouteille d’eau et d’une tenue de sport. Il faudra qu’on mette fin au cumul, parce qu’on ne peut pas avoir une licence de promoteur et une licence de manager. Quand on est manager, on reste manager », annonce le CNG de lutte.
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