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Sénégal invité d’honneur 27e édition du Fespaco: Le PR Macky Sall annoncé à Ouagadougou

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Le musée des civilisations noires de Dakar a accueilli ce mardi 29 juin, les acteurs du secteur culturel pour une conférence de presse pour le lancement de la 27ème édition du Festival Panafricain du Cinéma et de la télévision de Ouagadougou. Une conférence animée par le ministre de la Culture et de la Communication, Abdoulaye Diop, co-présidée par le ministre de la Culture, des Arts et du Tourisme du Burkina Faso, Elise Thiombiano Ilboudo. Lors de cette 27ème édition, le Sénégal sera l’invité d’honneur de ce grand événement culturel qui se tiendra du 16 au 23 octobre 2021 à Ouaga. Le chef de l’Etat Macky sall est annoncé à Ouagadougou pour assister à la cérémonie d’ouverture.

Le Festival Panafricain du Cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) honore le Sénégal comme invité d’honneur à sa 27ème édition de l’année 2021. Le ministre Burkinabé en charge de la Culture, des Arts et du Tourisme, Elise Thiombiano Ilboudo, a salué, l’engagement du Président sénégalais, Macky Sall, à mener le plaidoyer en faveur du renforcement du soutien de l’Union africaine (UA) à l’organisation du FESPACO.

Le plaidoyer du Président Macky Sall espérer pour boucler le budget de 2 milliards
L’objectif de ce festival est de « favoriser la diffusion de toutes les œuvres du cinéma africain, de permettre les contacts et les échanges entre professionnels du cinéma et de l’audiovisuel, et de contribuer à l’essor, au développement et à la sauvegarde du cinéma africain, en tant que moyen d’expression, d’éducation et de conscientisation », affirme Alex Moussa Sawadogo, le délégué général du Festival.

Le budget pour l’organisation est estimé à deux milliards de FCFA, soit une somme de 3 624 480 USD. Il a pour objectif, entre autres, de favoriser la diffusion de toutes les œuvres du cinéma africain. Mais aussi de permettre les contacts et les échanges entre professionnels du cinéma et de l’audiovisuel et contribuer à l’essor, au développement et à la sauvegarde du cinéma africain, en tant que moyen d’expression, d’éducation et de conscientisation.

Le ministre burkinabé espère ainsi que le plaidoyer de Macky Sall portera ses fruits. « Le Sénégal est pays invité d’honneur de cette édition pour diverses raisons parmi lesquelles la coopération culturelle avec ce pays » a déclaré le porte-parole du gouvernement burkinabé madame Elise Faniyama Ilboudo Thiombiano, ministre de la Culture des Arts et du Tourisme. Elle a insisté sur le fait que le festival n’appartenait pas seulement au Burkina Faso, mais était un événement africain.

Selon le ministre Abdoulaye Diop, « le Burkina Faso nous met ainsi à ses côtés pour accueillir les hôtes du Fespaco, à nous convertir en organisateurs et à donner à cette édition le cachet de la téranga et à nous investir pour que la fête soit plus belle que toutes. Le Sénégal sera présent au Fespaco vêtu de son boubou d’invité d’honneur, il sera présent à la mesure de l’immense honneur qui est fait au Président Macky Sal ».

55 films sénégalais ont été inscrits dans plusieurs catégories
Au total, 55 films sénégalais ont été inscrits dans plusieurs catégories. Cette édition du FESPACO se tiendra du 16 au 23 octobre 2021 à Ouagadougou, sous le thème : « Cinéma d’Afrique et de la diaspora, nouveaux talents, nouveaux défis ». À la fin des inscriptions le 31 mars dernier, plus de 900 films de 28 pays ont été enregistrés ; seulement 70 films seront sélectionnés et 150 invités seront conviés à ce grand évènement.

De son côté, Alex Moussa Sawadogo, le délégué général du festival, a fait ressortir les innovations prévues pour cette 27éme édition qui a pour thème : « Cinéma d’Afrique et de la diaspora, nouveaux regards, nouveaux défis ». D’après ce dernier, les inscriptions cette année ont battu les records avec un total de participants estimé à 1132, malgré la présence de la Covid-19.

Il a expliqué les différentes compositions du festival, il a cité le « Yennenga Connexion », une plateforme de collaboration entre le FESPACO et les mécanismes de référence d’aide à la création du cinéma africain.

Il y a aussi le « Yennenga Liboni », consacré aux réflexions et aux échanges, et le « Yennenga post-production », une passerelle pouvant favoriser les partenariats de coproduction et l’accès au marché international des œuvres africaines. De son côté, le « Fespaco perspectives », est consacré aux réalisateurs étant à leur premier et deuxième long-métrage. Une section qui soutient les créateurs à la recherche de leur propre expression artistique.

Le « Fespaco Soukabé » se concentre sur des films qui prennent les enfants et les jeunes comme cible principale dans leur récit, leur langage et le sujet cinématographique, a fait savoir le délégué général du festival. En termes d’innovations, figure également le « Fespaco d’honneur », destiné à honorer une personnalité du cinéma africain pour l’ensemble de ses œuvres. Le nom du lauréat sera dévoilé le 14 juillet prochain.

Le chef de l’Etat va faire le déplacement
Le ministre de la Culture et de la Communication Abdoulaye Diop a salué le geste des acteurs du secteur culturel. Il a annoncé la participation présidentielle du chef de l’état Macky Sall sur les lieux à la date arrêtée…Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou ou FESPACO est l’un des plus grands festivals de cinéma africains, il se déroule tous les deux ans à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso. Il est également l’un des rares festivals de cinéma d’État encore existants dans le monde. 

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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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