Une soixantaine de femmes actrices de la filière riz dans la vallée du fleuve Sénégal, ont été formées hier en éducation financière et numérique, dans le cadre d’une journée de partage organisée par l’Union des institutions mutualistes communautaires d’épargne et de crédit (Uimcec), en partenariat avec le Fonds d’équipement des nations unies, à la Chambre de commerce.
Le Dg de l’U/Imcec, Ousmane Thiongane a rappelé que son organisation et l’Uncdf ont signé une convention le 3 août 2020 pour mettre en place des services financiers numériques pour la chaîne de valeur riz dans la vallée.
Les séances de sensibilisation prévues dans ce projet, permettront aux bénéficiaires d’être bien informés sur l’épargne, le crédit et les services digitaux et autres produits de l’U/Imcec et de bénéficier du crédit à travers l’utilisation de nouvelles technologies.
Selon M. Thiongane, les bénéficiaires auront accès aux différents produits et services commercialisés par l’entreprise partenaire de l’U/Imcec, Mlouma à travers sa plateforme numérique.
En effet, Mlouma offre des services relatifs aux informations météorologiques, aux prix des produits agricoles et permet aussi aux acteurs de disposer de boutiques en ligne et d’échanger des informations entre eux à travers des sms.Le projet étant presque à terme, l’U/Imcec a organisé cette journée de partage à Saint-Louis pour échanger sur ses réalisations et ses résultats. Ainsi, des indicateurs de performance clés ont été donnés. A ce jour, 2110 personnes ont été formées, dont 1916 femmes, 782 jeunes et 194 hommes. Pour ce qui est du crédit, il y’a eu 1427 bénéficiaires, pour un montant de 218 millions 300 mille, avec un taux de remboursement très satisfaisant.
Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.
D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».
Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.
Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.
Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie. Mais pour le directeur général de cette structure, cela s’explique par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1, deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.
Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ». S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.
La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.
Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.
L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.
Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.
Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier.
L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité.
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