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FINANCE CLIMAT : Des acteurs de la pêche initiés dans la formulation de projet

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Le ministère des pêches et de l’économie maritime, avec l’appui de de « Dekkal Geej » (vers une pêche durable) de l’Usaid a organisé un atelier des travaux de groupe pour le renforcement des capacités des acteurs sur la finance climat. Ces acteurs de la pêche artisanale ont bénéficié d’une formation de deux jours dans la formulation de projet pour l’accès au financement.

 « Cet atelier nous a permis de formuler des projets dans le cadre de l’aquaculture, le développement de l’aquaculture, de promouvoir l’aquaculture et continentale et maritime pour vraiment diminuer la pression sur la ressource halieutique. Donc, c’est une priorité parmi les idées de projet que nous avons retenu dans les plans d’adaptation pêche et changement climatique au niveau de notre département. Avec l’appui de« Dekkal Gee » , nous allons poursuivre les travaux pour reconsolider ces projets-là qu’on pourrait soumettre aux différentes mécanismes de financements climat, à savoir le fonds vert climat, le fonds d’adaptation et les autres mécanismes de financements des Nations-Unies », a affirmé Mme Aïssatou Fall Ndoye Gueye, aménagiste des pêches, point focal de la plateforme nationale pêche et changement climatique au niveau de la direction des pêches maritimes.

D’après Mme Aïssatou Fall Ndoye Gueye, ils viennent  de terminer deux jours de travail, des exercices de formulation et consolidation des projets stratégiques d’adaptation qui sont issus du plan national d’adaptation changement climatique.

D’après Mme Gueye, le document de planification de changement climatique horizon 2035, est un document qui a été adopté par les deux ministres, le ministre de l’environnement et du développement durable et le ministre des pêches et de l’économie maritime en novembre 2016.

Et Mme Gueye de rajouter : « Pour opérationnaliser les stratégies d’adaptation issues de ce document, nous avons mis en place une plateforme nationale pêche et changement climatique qui regroupe tous les experts relatifs à l’administration des pêches, à la surveillance des pêches, à l’environnement, au climat, l’université, la recherche, les organisations professionnelles des pêches, les ONG, le secteur privé, les partenaires techniques et financiers et même les médias ».

Quant à M. Momar Mbaye, chargé de programme, diversité, changement climatique  du projet« Dekkal Geej »  de l’USAID, il avance : «   Pour cet exercice, nous les accompagnons dans un processus de mise en œuvre d’un plan national d’adaptation du secteur de la pêche qui a été élaboré du temps du projet Com-Fish. Il faut renforcer les capacités techniques de formulation de projet et aussi d’identification surtout de projet bancable. Au niveau de l’USAID, le challenge, c’est d’accompagner  les acteurs à identifier des projets, à accompagner un processus de formulation. C’est un processus, identifier les guichets pertinents pour ces projets et avec les services habilités de l’Etat, la direction e l’environnement afin que les projets qui sont identifiés par les acteurs puissent aboutir à un financement et à une mise en œuvre au niveau du terrain de manière concrète ».

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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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