Le Parti républicain a tenu, lundi, le premier jour de sa convention. Après l’investiture officielle de Donald Trump dans la journée, la soirée a vu défiler plusieurs profils en vue, comme le fils aîné du président, Don Jr., ou l’ex-ambassadrice américaine à l’ONU Nikki Haley. Tous ont présenté le candidat comme le protecteur du rêve américain contre l’agenda « socialiste » des démocrates.
Les républicains avaient promis de l' »optimisme ». Ça n’est pas vraiment le message qui sera retenu du premier jour de leur convention, lundi 24 août. Une semaine après la grand-messe des démocrates, qui ont opté pour un format 100 % virtuel, le Parti républicain a tenu à ancrer certaines de ses interventions depuis la ville de Charlotte, en Caroline du Nord. C’est là que les délégués ont officiellement désigné, dans la journée, Donald Trump comme candidat du parti à la Maison Blanche. Le président, qui espère décrocher un second mandat, s’est lui-même déplacé à Charlotte pour remercier la ville de son accueil.
Dans la soirée, l’émission en « prime time » a ressemblé à celles que les démocrates ont produites chaque soir de la semaine dernière : une succession de clips et de discours de personnalités du parti. Le tout dans un format un peu plus traditionnel pour plaire à l’électorat conservateur.
Les discours ont pour la plupart visé à présenter Donald Trump comme un protecteur des valeurs américaines qui seraient menacées par la « gauche radicale ». Charlie Kirk, le responsable d’une organisation étudiante conservatrice, l’a ainsi décrit comme le « garde du corps de la civilisation occidentale ».
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