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2ème édition du Festival de Barga, dans le Fouta: le parrain Abdoulaye Elimane Dia s’est déclaré très satisfait du désenclavement de l’île à Morphil.

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Le maire de la commune de Démet, Abdoulaye Elimane Dia, parrain de la deuxième édition du festival culturel de Barga, une localité située non loin d’Agnam, axé sur le thème « Solidarité et Développement », n’est pas passé par quatre chemins pour rendre un vibrant hommage au président Macky Sall, « qui a eu le réflexe et le mérite de désenclaver l’île à Morphil par la réalisation de nombreuses infrastructures routières, qui permettent aujourd’hui de rallier dans de très bonnes conditions Pété à partir de Ndioum, de rouler à une allure vertigineuse et sans dangers dans l’île à Morphil, sur des chaussées très modernes, haut de gamme ».Il s’est réjoui de l’état d’avancement des travaux du tronçon routier compris entre Cas-Cas et Démet. A en croire cet opérateur économique, depuis une soixantaine d’années, l’île à Morphil est enclavée et, « c’est le président Macky Sall, dans le cadre de la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent, qui s’est évertué à tout mettre en œuvre pour la rendre accessible par des routes goudronnées qui ont remplacé ces pistes kilométriques, sinueuses, escarpées, ellipsoïdales et qui étaient impraticables pendant l’hivernage ».A première vue, dès qu’on parle de Abdoulaye Elimane Dia ou Kaladio on pense à l’homme d’affaires sobre, discret et travailleur mais également à son dévouement pour le bien être de sa localité dans tous les domaines.Le maire de Démet est devenu incontournable depuis quelques années dans le département de Podor et particulièrement au sein de l’île à Morphil. Avec  le cadre de concertation de l’ile à Morphil, kaladio est en train de jouer pleinement sa partition pour le développement socio-économique de sa localité. Ses actions, son esprit patriotique et civique, mais aussi son combat engagé pour le développement économique du Sénégal en général  et du Fouta en particulier, lui confèrent  toutes les qualités d’un leader politique atypique.Ce « nouveau messie de l’île à Morphil », natif de Démet dans l’Ile à Morphil et actuel maire de sa commune s’est donné comme sacerdoce le changement du visage économique de sa localité jadis laissée en rade. 
Ainsi, il a été choisi cette année par les responsables et membres de l’Association des Jeunes pour le Développement de Barga (Ajdb) pour parrainer la deuxième édition du festival de Barga. S’adressant à la presse, il s’est dit très fier et honoré de parrainer ce festival et de constater que le Fouta (Podor et Matam) est une seule entité et indivisible.C’est la raison pour laquelle, il n’a pas été surpris de renouer facilement avec toutes ces facettes de la culture Haal-pulaar, mise en exergue à l’occasion de ce festival de l’unité, de la cohésion, du rassemblement, du développement, de retrouvailles fort-délirantes entre les fils et les ressortissants du Fouta. 
Un festival de grande envergure qui a permis aux festivaliers venus des quatre coins du pays et même de l’étranger, de s’épanouir, de communier dans la joie et l’allégresse et de réfléchir sur l’entrepreneuriat et l’insertion des jeunes dans le tissu économique de notre pays. Il a été question particulièrement d’attirer l’attention des jeunes sur les énormes potentialités économiques qu’ils peuvent exploiter dans le delta et la vallée du fleuve Sénégal, dans les domaines de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche. 
A cet effet, les représentants de l’Agence Nationale pour la Promotion de l’Emploi des Jeunes (Anpej) ont apporté leur contribution à l’organisation de ce festival, en sensibilisant les jeunes sur ces opportunités d’affaires qui continuent d’attirer les investisseurs dans la région Nord.                                                                                       Mbagnick Kharachi Diagne / CHRONIQUES.SN

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Guédiawaye : Ahmed Aïdara retire à GFC son stade, Lat Diop annonce une plainte

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Dans une correspondance adressée à Lat Diop, président de GFC et responsable local de Benno, le maire Yewwi de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, annonce la suspension «pour un temps» de la convention dans le cadre duquel la mairie met à la disposition du club le stade Ibrahima Boye. Celle-ci a été signée sous le magistère de son prédécesseur, Aliou Sall.

D’après Les Echos, Ahmed Aïdara a invoqué «un déficit budgétaire criard». Ainsi, renseigne le journal, GFC a jusqu’au 1er octobre prochain à 18 heures pour vider les lieux. L’édile de Guédiawaye offre cependant la possibilité de renouveler la convention «dans d’autres circonstances particulières qui seront définies d’accord parties».

Les Echos rapporte que Lat Diop ne l’entend pas de cette oreille. «Il veut nous retirer le stade que Aliou Sall avait mis à notre disposition sur la base d’une convention de quatre ans, en contrepartie de l’appui financier que la ville devait octroyer à GFC. Il ne sait même pas qu’il ne peut dénoncer une convention de façon unilatérale», souligne le président du club de football.

Ce dernier informe que les avocats de GFC vont saisir la justice et que le Comité exécutif du club va se réunir ce mercredi avant de faire face à la presse demain, jeudi.

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Lenteurs au Port autonome de Dakar: Le Dg Aboubacar Sadikh Bèye explique

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Les lenteurs au niveau du Port autonome de Dakar ont été décriées pendant la réunion présidentielle sur la cherté de la vie.  Mais pour le directeur général de cette structure,  cela s’explique  par une situation conjoncturelle. En effet Aboubacar Sadikh Beye a expliqué l’indisponibilité de certains quais entrave  l’offre portuaire. Sur 23 postes, les huits sont immobilisés. Par exemple, au mole 1,  deux postes sont au service du pétrole et du gaz pour la plateforme Tortue et Sangomar. Le bateau hôpital occupe aussi un poste au Port autonome de Dakar. Deux autres postes sont mobilisés pour être modernisés et seront récupérés en octobre.

  Le directeur général du Port d’ajoute que ces lenteurs s’expliquent aussi par un atre facteur lié à la forte portuaire. « En juillet on a fait 104% en importation. La congestion terrestre est réglée parce que les camions sortent très tôt du Port  alors qu’ils pouvait y faire plus de 4 jours ».  S’agissant de la manutention, un bateau de 40 000 tonnes reste à  quai pendant 20 jours parce que les manutentionnaires font 2000 tonnes par jour. « La manutention se fait encore comme il y a 40 ans. Il faut une modernisation. Il ajoute que les concessionnaires et les lignes maritimes sont aussi dans le Port et occupent de grandes surfaces », conclut-il.

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Lutte contre le trafic illicite à Thiès : Une contrevaleur de 437 millions FCfa de produits prohibés incinérés

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La Douane de Thiès a procédé à l’incinération de produits prohibés d’une contrevaleur de 437 millions de francs CFA.

Les produits prohibés saisis en 2021, dans le cadre des opérations de « bouclage » des couloirs et réseaux de trafic illicite, sont composés de faux médicaments vétérinaires d’une contrevaleur de 175 259 382 francs CFA ; de 3529 kg de chanvre indien pour une contrevaleur de 236 940 000 francs CFA ; de sachets en plastique pour une contrevaleur de 25 000 000 francs CFA.

L’adjointe au Gouverneur de Thiès, Mme Tening Faye Ba, a supervisé la cérémonie d’incinération en présence des représentants des autres Forces de Défense et de Sécurité, du corps médical et des services en charge de l’environnement.

Le Lieutenant-Colonel Amadou Lamine Sarr, Chef du Groupement polyvalent de Recherche et de répression de la fraude a rappelé la dangerosité des produits incinérés sur la santé de la population.

Il a affirmé une fois de plus l’engagement de son unité à combattre farouchement le trafic illicite sur toutes ses formes conformément aux directives de la Direction générale des Douanes, le DG en particulier. 

L’Adjointe au Gouverneur, Tening Faye Ba, a ensuite, invité les populations, celles du littoral plus précisément, à une collaboration plus étroite avec les forces de défense et de sécurité. 

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